Pas mal, beaucoup de choses très vraies et jouissives dans cet épisode.

WTF cette série, j'avais oublié à quel point c'était nawak.

Pauvre Teddy, ça ne s'arrange pas.

Coeur coeur coeur puissance 12. The Feels. C'était un tourbillon d'émotions, cette niaiserie. Je suis passée des larmes au rire aux larmes encore une fois. (Je suis un petit être sensible, ils tirent sur toutes mes cordes sensibles, à commencer par le whump, mais tout de même, c'était superbe.) J'ai encore plus envie de me refaire les films que la semaine dernière, mais même pas pour critiquer ou comparer, juste parce que tout l'amour que j'avais pour les personnages d'origine existe aussi pour les nouveaux. J'ai même pas envie de critiquer les rares longueurs, ou le cabotinage un peu pénible parfois. Même pas envie de faire ma snob et comparer les réemplois de bouts de films dans tous les sens. J'ai juste hâte de voir le prochain épisode. Et je vais peut-être écrire des fics. A défaut d'en avoir à lire.

Les cheveuuuuuuux les cheveux les cheveux. Et la veste trouée. Le chiffre devinette du boss. Les cascades improbables totalement décoiffantes (les cheveuuuuux bis). La couvertuuuuuuuuuuure dans le jardin gngngngn.

Plusieurs fois au cours de l'épisode, j'ai roulé des yeux tellement c'était too much, trop patriotique tsoin tsoin. Plusieurs fois, j'ai trouvé ça cheap et mal fait. Plusieurs fois aussi, je me suis demandé pourquoi je regardais alors que tout m'énervait. On ne peut pas dire que ce soit mal écrit, mais c'est tout ce qu'ils ont pour eux. Je sens que je vais finir par me lasser, reste à voir dans combien de temps...

??????????

En gros.

La saison 1 était une joyeuse pitrerie, et la saison 2 est encore pire. J'adore. Parrish et Booth sont encore une fois au cœur du merdier ; qui n'est pas beaucoup plus crédible que le premier merdier, mais un peu plus stressant tout de même (prise d'otage pendant le G20, une petite décapitation, tout ça tout ça). Comme prévu, ils délirent sur le système de recrutement de la CIA cette fois ("the Farm") et c'était... pas mal du tout. J'ai beaucoup pensé à Kingsman tout du long (saut en parachute, anglais gay (?), méthodes retorses), c'était fun. J'adhère, mais c'est un guilty pleasure assumé.

Par contre les "now"/"then" à répétition m'ont grave saoulée. On comprenait très bien sans l'an dernier...

Un vague remake de Die Hard, avec une vengeance, des bombes, des diamants et très peu de devinettes. Très moyen, et pas vraiment palpitant. Il faut qu'ils arrêtent avec les personnages ressortis d'épisodes passés, je ne m'en sors pas...

Mais qu'est-ce que c'est que cette sombre merde...
J'en suis même pas à 10 min d'épisode, et ça n'a pas le moindre sens. Ça commence comme un joyeux téléfilm du samedi produit par SyFy (cataclysmes annoncés partout, effets spéciaux navrants), mais un mec possédé (??) vient d'agresser d'autres gens pour une raison incertaine...
Allez, poubelle direct.

Gentillet, et j'ai un peu eu du mal à rester réveillée sur la fin. Mais c'est tout l'intérêt d'une telle série, dans le fond, on s'en fout un peu si on rate des bouts. Le commentaire politique était crédible et intéressant, mais je n'ai aucun souvenir de l'avocat, et le plot twist était assez naze.

L'intrigue était naze (une agence de renseignement qui recrute ceux qui ont échoué le test en les faisant chanter par la suite pour s'en servir comme des taupes), mais tous les à côtés et les petites discussions étaient adorables. J'aime qu'on ne sache jamais vraiment sur quel pied danser quand ils sont sous couverture - Callen était particulièrement convainquant dans son ratage de test, pauvre chou.

J'ai deux mois de retard sur mon planning habituel, mais les promos pour la saison 8 ont fini par avoir raison de moi et je me suis décidée à me lancer dans cette niaiserie encore une fois. A chaque fois je me demande pourquoi je regarde encore, et au bout de 10 min, les doutes sont levés, c'est juste un truc de fangirl, et pi c'est tout. Je m'étais spoilé le coup du taser, donc j'étais toute trépignante d'anticipation, et l'épisode était correct à ce niveau-là. Heureusement qu'ils ont inclus un previously, parce que c'était un peu chaud patate de s'y retrouver. Bref, c'était sympa, contre toute attente, comme d'habitude.