Putain c'est rude, après je sais pas combien de mois de pause, de reprendre cette histoire emberlificotée au possible. Épisode jouissif, série superbe, tout pour plaire.
Le méchant était chouette, Burke était magnifique, tout tombait bien. La suite la suite !

Aaaaaawwwww ça m'avait manqué. Apa idée de faire des pauses aussi longues au milieu d'une saison.
Je suis ravie du retour du triangle amoureux canonique : House - Wilson - random girlfriend.

Good one. C'était juste tortueux ce qu'il fallait, avec les références, les blagues, et le gore, un peu d'action (*o*), tout plein de personnages et une intrigue prévisible mais chouette.

Une fois de temps en temps, ils arrivent à sortir un épisode vraiment excellent. L'intrigue, le suspens, l'action, le character development, tout était chouette. Mis à part les figurants-passants qui regardent jamais du bon côté comme le ferait une personne normale, j'ai rien à critiquer. C'est pour des épisodes comme ça que je continue à suivre cette série. Et parce que j'adore ces personnages :)

Episodes, c'est l'histoire de deux scénaristes britanniques d'une série à succès qui sont démarchés par un directeur de chaîne US et qui parte à Hollywood pour adapter leur série. Sauf que tout part en couille...

Série bizarre, que j'ai regardé pour cause d'acteurs britanniques que j'aime dedans (Fran de Black Books et Dirk Gently) + Joey/Matt LeBlanc. C'est... étonnant, un peu raté, et pas si mal, au final. L'humour mi-britannique, mi-américain tombe un peu à plat, surtout dans le premier épisode. Le second, ya de trucs très bons, et des trucs on rit un peu jaune.
Pi je participe aux sous-titres français :)

Ouh yeah. C'était drôle, censé, très conforme à l'esprit du livre, et pourtant assez clair pour être accessible grand public, à mon avis.
Les acteurs sont géniaux, la musique un peu chiante. L'intrigue était conne et pas assez complexe, mais... en même temps ça aurait été dur à manier sinon.
Beaucoup de détails très bien vus, des clins d'œils aux livres, c'était superbe.
Trop court. Et pourquoi c'est pas un pilote pour une future série, comme je croyais ? Ralala trop injuste :'(

L'accent écossais, l'accent le plus terrifiant au monde (ou est-ce l'accent irlandais ?). J'ai dû comprendre les deux tiers de l'épisode à tout casser, et encore j'ai dû faire plein d'arrêts et de retours en arrière. *sigh*
C'était un des meilleurs épisodes de cette saison assez naze, et tristement le dernier.

La zoophilie, toujours un bon sujet apparemment. Nettement plus dur à suivre quand tout le monde est britannique, du coup, mais bon ça allait encore.

Ça doit bien faire un mois que je boude cet émission parce que les deux trois derniers épisodes étaient vraiment à chier, et bon, bah cet épisode-là était super marrant, comme quoi.

En fait, les Buzzcocks, c'est hautement paradoxal et perturbant, parce que c'est le niveau zéro de l'intelligence (pop culture, blagues nulles et références culturelles foirées) et pourtant je dois déployer des trésors de concentration pour suivre et tout comprendre. J'aime pas ne comprendre que, mettons 80% d'un truc, ça me frustre.

Les show télé, c'est le plus dur, la dernière frontière, vu que ça peut parler de n'importe quoi, que le rythme est très rapide, les accents très divers et surtout toujours différents.

Or là, je sais pas si c'est l'effet du sirop pour la toux, ou le fait que le présentateur était un américain cette fois, mais le rythme était plus lent, et j'ai absolument tout compris sans avoir à me forcer.

Phill est de nouveau drôle sans se forcer, par contre Noel recycle un peu ses lignes, c'est chiant *tend un peu de sirop pour la toux, des fois que ça aide*

La badasserie n'a plus de limites... Arrêter une voiture avec un hélicoptère ? Yep. S'en prendre aux Yakusa d'Hawaï et défoncer la porte de leur QG à moto ? Yep. Home invasion + taser + kidnapping rescue en moins de 12 h ? Yep.