Je ne trouve pas les mots pour décrire l'épisode de House. Et pour que je trouve pas mes mots... c'est que vraiment..
Aujourd'hui je me suis rendu compte à quel point il était facile de faire la critique (littéraire) de quelque chose de mauvais, et à quel point devant quelque chose de beau on se trouve démuni.
Je pensais faire plaisir à quelqu'un en lui donnant des conseils, en lui disant pourquoi je n'avais pas aimé ce qu'elle a fait. Elle n'en a rien à faire.
Et là devant une œuvre parfaite je ne trouve rien à dire, ou alors c'est juste des bribes, c'est pas construit, c'est désolant. Et de toute façon ceux qui ont fait ça n'en ont rien à faire, de ma pensée construite.
Si j'avais l'adresse du scénariste/réalisateur, je lui enverrais juste une carte qui dit "Thank you, and I hate you so much for that."