J'étais partie pour dire que c'était vraiment à chier, mais les dernières minutes donnent vaguement envie de continuer, je vais leur laisser le bénéfice du doute, mais c'est pas gagné. On dirait une série ratée qu'on aurait pu faire il y a dix ans. C'est pas totalement naze, mais c'est quand même très naze. Les dialogues sont à jeter, on dirait une succession de collages d'idées pas finies, pas abouties. Le pire était le père pas mort (genre personne est mort-mort en fait ?) qui réfléchit à haute voix à la place des scénaristes. Je veux pas du mystère prononcé à haute voix, je veux de l'action et des trucs réels à se mettre sous la dent. Donc la fin était acceptable à ce niveau, mais blah.

Cette trilogie d'épisodes était fabuleuse. Ils sont totalement capables de faire un drama avec leurs conneries, en fait. C'était stressant et logique et hilarant tout à la fois. Je me doutais de la fin (la fausse attaque de l'appart pour faire parler Bob), mais pas de la 2e fin (Ray et Jake en Floride en witness protection). Fun fun. Je suis épatée par l'absence d’essoufflement après quasiment 70 épisodes. Tous les personnages sont terriblement égaux à eux-mêmes (mention spéciale pour Robot-Holt et Hitchcock/Scully), tout en ayant bien progressé.

Je dois pas être la cible. Je me souviens, il y a très longtemps, que je n'avais pas aimé le bouquin, et rebelote avec la série...

Je n'ai pas aimé du tout, et j'ai pas arrêté de penser qu'on aurait pu avoir une saison 4 de Hannibal à la place de ce machin assez moche et laborieux.
J'ai regardé jusqu'au bout, en espérant... quelque chose ? Un intérêt pour les personnages, un semblant d'intrigue, un déclic. Mais non, rien de rien. J'ai pas tout compris, et c'est grave chiant au demeurant. La scène dans le bar chelou m'a fait penser à Nebesnyi Soud, dire que je n'aurai jamais la fin, snif.
Je tenterai peut-être le suivant, parce que je n'avais pas aimé le pilote de Preacher, mais qu'au final c'était chouette.

Voui. Classique, avec des trucs marrants (le pari sur l'affrontement Connie/la remplaçante) et d'autres un peu glauques (l'histoire de Severide et sa copine). Pas trop apprécié le "pote d'enfance de Casey" sorti de nulle part, mais pourquoi pas.

Best episode. Full of gross things and aggression and surprising twists and turns and a gay Ron-Dave-Swanson with a mighty beard. Jake's toothy grins. The god-husband conundrum. Hitchcock being sort of useful for once. (Gina is me.)

Un épisode très mal écrit, limite ridicule, qui avait quelques moments sympas, et pour pas changer, un cliffhanger bien comme il faut. J'aime les saisons où ils racontent des choses isolées en parallèle, mais encore faut-il que ces choses soient palpitantes, et là, c'était un peu meh.

Fuuuuuuuuuuuuuu. C'était frustrant et génial à la fois. Et la reprise d'une chanson de Empire of the Sun à la fin, j'adhère. C'est poussif, tout de même, mais les développements des personnages sont tellement cruels et dark que je leur pardonne.

Elle est problématique cette série, parce que ça brasse un peu du vent depuis deux épisodes, et pourtant l'ensemble est extrêmement satisfaisant à regarder. Esthétiquement, c'est parfait, et la musique fait qu'on est pris dans un tourbillon de faux semblants, mais si on s'arrête deux minutes et qu'on réfléchit, c'est vide, terriblement. De toute manière il est trop tard pour s'arrêter et ils sont tous trop mignons (à tendance psychopathe) pour renoncer.

Yes yes yes. Negan est parfait, les jeux de pouvoir (concours de quéquette, c'est Rosita et Michonne qui ont les plus grandes, normal), la soumission de Rick, c'était extrêmement plaisant à regarder. C'est salaud à dire, mais Rick commençait à saouler, ça fait du bien que ça bouge un peu.

Welp. Un des meilleurs épisodes depuis... depuis la saison 4 ? C'était un festival d'horreurs toutes plus horribles les unes que les autres, imbriquées dans une série de réalisations flippantes et logiques, de choix glauques et de torture mentale. C'était jouissif dans un sens, pour toutes les mauvaises raisons.