OTP : Dean/food.

Le début était MEH, en mode full-CW, avec des gamines trop maquillées et des histoires de coeur, c'était pas du tout mon délire, même s'ils ont réussi à y mettre pas mal d'humour (la scène du repas, avec "the talk", et Dean et Sam qui captent que dalle, c'était magique). Toute cette bouffe et ces family feels, ça m'a trop rappelé une horrible fic où ils passaient leur temps à bouffer et se faire péter la gueule. Et évidemment, ça n'a pas trainé. La scène de l'enlèvement était violente, inattendue et gore. Après, le reste était trop long et chiant - pourquoi les méchants passent toujours cent sept ans à se gausser et à raconter pourquoi ils font ce qu'ils font ? Bref, quelques décapitations plus tard, tout va bien, hop hop. Et ils repartent avec de la bouffe :')

La créature tout en CGI mal faits était horrible et pas vraiment flippante, mais le combat final (et ses conséquences) était très angoissant. LuciCas est une trouvaille exceptionnellement drôle (et un peu flippante aussi), j'adhère tout à fait. Bref, épisode très très drôle, qui finissait sur un truc très glauque. Comme d'hab quoi.

ALSO, Lucicass feading some seaguls in a park because why not.

Quel merdier, cet épisode, ça puait le fanservice d'un bout à l'autre, mais la fin était sublimissime. Misha!Lucifer est plus que parfait, et le voir tordre le cou de la sorcière était jouissif, même si prévisible. Surtout juste après qu'elle a vaguement avoué son amour à son fils. Je suppose qu'elle n'est pas morte-morte, vu que personne ne reste mort dans SPN, mais wohoh c'était cool.

Hihihi la fin. C'est affreux, mais je commence à apprécier les "méchants" plus que les "gentils"... Lucifer, il peut pas être totalement antipathique, pas comme le YED. Il est tordu et tout ce qu'on veut, mais il fait des blagues, et il fait pas peur en soi. Bref, je m'égare. Un épisode un brin mièvre, sur la foi et l'absence de Dieu, avec quelques réflexions assez censées sur la bizarrerie du concept même de religion. Mais plein de choses que je ne kiffe pas du tout, à commencer par Sam encore une fois possédé par Lulu, et Amara qui fait des propositions cheloues à Dean. Et le PIRE, c'est qu'il a même pas eu son hotdog, au final.

Introduction molassonne, mais quand même plus rapide que dans Band of Brothers, de mémoire. Le non-débarquement était sympa, j'avais celui de Saving Private Ryan dans un coin de la tête, et c'était nettement moins stressant. J'avoue ne pas avoir réussi à reconnaitre les personnages, pour l'instant ><

:o

Un épisode pareil, ça mériterait presque de revoir tout le début de la saison pour chercher les failles - et je suis sûre qu'il n'y en aura pas. Mandieu mandieu. Et pourtant ça ne payait pas trop de mine, au début, on reprend sans ellipse, les choses se règlent beaucoup trop facilement, on n'y croit pas, c'est trop simple. Et puis il y a cette agression ultra flippante dans une ruelle, et cette boucherie impromptue, et cette séance chez la psy qui... remet les choses en perspective. Awé. Quand même. Je suis contente de rien m'être spoilé, ça en a été encore plus beau.

Arg, c'était TRISTE. J'avais pas anticipé qu'ils iraient jusqu'au bout de l'histoire de Lynyrd Skynyrd, ça m'a foutu un coup au moral. Et la tronche de Reg, qui finalement ne dit rien, c'était affreux. Cette série est vraiment spéciale - à la base c'était une thérapie, pour revoir Imogen Poots dans un contexte moins sanglant que Green Room, mais en fait, c'est ultra super attachant. Pauvres personnages. (Et David Spade, wtf...)

Des amis imaginaires ! Réels ! Et assassinés ! C'était juste hilarant, parce que ça faisait sens, et en même temps c'était vraiment bizarre. La fin de l'épisode était glauque, mais du bon glauque, plein de secrets et de sacrifices à venir.

Ça commençait vraiment super louche, avec Donna (le shérif qui parle comme une poissonnière) qui les appelle pour un cas de lapin tueur (un mec avec un masque de lapin géant absolument terrifiant). Il s'avère que pour le coup c'était bien un fantôme, très classique, avec une sombre histoire de pédophilie sous-jacente (pour laquelle on n'a pas de réponse claire). C'était glauque et limite limite, mais ça avait le mérite d'être visuellement intéressant.

Wat. C'était tellement logique et inattendu à la fois, cette révélation sur la véritable identité de the Darkness... C'est très Buffy-esque, pour le coup (et toujours Preacher-esque). Pendant l'épisode et cette artistique séquence où la baston de Sam vs les démons et celle de Castiel vs Metatron étaient mélangées, je me disais que quand même, on s'était drôlement désensibilisés, la violence s'est banalisée, c'est triste. Ça fait un moment qu'on n'a pas eu des épisodes aussi atroces que "On the Head of a Pin" (still not over Alastair, apparently...).