Mondieumondieumondieu. On aurait dit une version totalement démente d'un épisode normal, croisé avec un épisode musical, croisé avec un épisode gore pour Halloween, croisé avec un épisode pour Noël... Oo Tout était superbement déjanté :O
Wow.
Ils étaient juste déchaînés. Un bel épisode, bien drôle du début à la
fin, avec plein de private jokes en rapport à d'autres épisodes, du coup
j'ai bien pu tout suivre :P Paloma Faith est adorable, ils étaient tous très bons. La chemise... avec les grenouilles, l'accent Cockney, "you... nonce!", "shark rape", le costume de Paloma, tout tout tout ♥
Mondieu ça faisait longtemps que j'avais pas eu des frissons pareil à la fin d'un épisode d'une série. C'est
dément. L'histoire se met en place, tout se tient, les méchants sont
terrifiants de courtoisie, le "complot" est crédible au possible, les explications techniques sont rapides et bien amenées. Et
les sous-entendus, et les implications... Mondieu. C'est juste
prodigieux, et j'ai hâte, vraiment hâte de voir le dernier épisode - de
la saison, pas de la série, du moins espérons-le.
Inventif, bien rythmé, haut en couleur, avec suspens, rebondissements, quelques scènes d'action, musique, sentiments, trucs pour la suite, une fin en demi teintes, des blagues nulles. J'aime cette série.
La
fin était vraiment facile, mais si on enlève tous les éléments
relationnels chiants (Taub et sa meuf chiante, Wilson et sa meuf
chiante), on se retrouve avec une histoire presque potable. Quelques bons moments. Le diagnostique différentiel de Jésus. Le thème du mensonge un peu plus développé. J'ose espérer que la nouvelle va pas se casser après deux bons épisodes.
Premier tiers de l'épisode : mouaif, bof, très
classique, plein de placements de marques, un peu répétitif, rien de
rare à part peut-être la crise de jalousie de Danny qui était adorable.
Les deux derniers tiers : wow. Du bon whump, Steve totalement kickass, un espèce de vieux remake d'Assault on Precinct 13, des lunettes à vision nocturne et des cocktails molotov.
Cette
série tient vraiment ses promesses, même si ses promesses sont : faire
flailer les fans et nous faire passer un bon moment sans (trop) de prise
de tête.
David O'Doherty en Shakira (et en host, accessoirement), Noel avec un drôle drôle de chapeau (et là encore, comme pour le chapeau à oreilles personne n'a rien dit :D), des invités charmants, et des blagues que je comprenais pour une fois. Vive l'accent irlandais.
Cette
série ne cessera jamais de m'épater. Je veux dire, qui aurait cru que
ce petit show totalement trash et débile, qui avait très mal commencé
sur une chaine câblée, en serait à 6 saisons et serait toujours drôle
six ans plus tard... Le Dreambook
de Charlie, des rats, des spaghettis, un film en 3D et des Hawaïens qui
trainent sous un pont, c'est du gros n'importe quoi et c'est hilarant.
Tout simplement épatant, en toute objectivité.
Un chassé-croisé entre le passé et le présent, des jeux de caméra tout simplement sublime, ça donnait le tournis et pourtant à aucun moment on n'est perdu.
J'ai adoré que l'on voie la première rencontre entre Hank et Britt, la dernière enquête de Hank, la chute et l'erreur. Britt se rachète, Hank sombre ; à la fin de l'épisode c'est l'inverse, et Hank ferme enfin une enquête vieille de trois ans tandis que Britt finit en tôle (?).
C'était triste, poignant, et très sincère, à chaque instant, et ça c'est assez rare. En plus une série capable de me faire douter à chaque instant, c'est pas courant. C'était cousu de fil blanc, au point que quand on apprend la vérité, on se dit que ça sautait aux yeux, et pourtant comme Hank trois ans plus tôt, on avait le tournis, et on ne voyait pas ce qu'il fallait voir. Faire participer les thèmes même dans la construction de l'épisode, c'est prodigieux.
Si cette série n'est pas renouvelée, je chiale.
