Ce qui est bien, c'est que je finis chaque épisode avec un gros "fuuuuck" mental. C'est même pas des cliffhangers, juste des petits trucs qui donnent envie de lancer le suivant là tout de suite. Ça va faire mal quand j'aurai atteint la fin et qu'il faudra attendre la saison 2. J'avoue, cet épisode était très banal, mais je me suis fait avoir par la moitié des revirements. Le procès final était... surprenant, logique, cruel. Les changements qui commencent à affecter le présent/futur sont très stressants, pour le coup je trouve ça mieux fait que dans 12 Monkeys. A voir comment ça évolue.

Aaaaah. C'était génial de bout en bout, alors que concrètement il ne se passait quasiment rien - protocol 5, resume your host's life. Les hallucinations ajoutaient une part de folie et d'incertitude constante, c'était pas mal du tout. La fin et la nouvelle mission étaient jouissives. Et la tortue ♥

Ohmy. C'est juste énorme. Genre j'ai envie de lui trouver des défauts, mais... yen a pas. C'est drôle et triste et bien fait. Il y a des trouvailles géniales. Et donc on a enfin l'explication pour la fin du monde - un petit astéroïde, j'ai eu des flashbacks de The Last Policeman tout du long. L'ensemble est cohérent, à défaut d'être très scientifique. C'est juste suffisamment nawak pour que ça passe. Par contre leur Protocole 3, il est un peu explosé à la fin, quelle hécatombe auprès des militaires...

Le meilleur épisode jusque là. C'était cruel comme le 104 de 12 Monkeys. Aucun flashback, mais des récits décousus qui faisaient froid dans le dos. C'est extrêmement simpliste, et pourtant très bien écrit. Je me suis fait avoir par tous les moments forts, j'ai sursauté comme une tarée du début à la fin. Il va pas falloir que ça monte trop en intensité après ça, je risque de pas survivre...

C'était bien tout ça. Sur le papier, c'est vraiment du déjà vu (forcés de faire équipe avec une autre team de travelers, problèmes décisionnels, hiérarchie et protocoles), mais c'était bien amené, ça permettait d'expliquer pas mal de choses par petites touches, et surtout ça n'était jamais ennuyeux.

Pinaise, je me suis fait avoir par le truc, j'ai vraiment cru qu'ils allaient buter un personnage principal au 3e épisode. C'est tellement, tellement cruel tout ça, leur inadéquation avec le 21e siècle, leur hôte, leur mission. Le Directeur semble un bien mystérieux personnage, j'adhère totalement.

C'est vraiment bien, en fait. A la hauteur d'un Helix (pour la technologie cheloue expliquée vite fait, et une actrice en commun), ou d'un 12 Monkeys (même délire de sauver l'humanité en envoyant des types totalement déphasés dans le passé). Les personnages sont attachants, leur faiblesses sont soulignées, c'est intéressant. Cette histoire d'anti-matière est chouette, parce qu'une fin du monde à base de void, c'est sympa.

Ah yeah, c'était bonnard tout ça. Un bon petit finale, avec des révélations, des retournements inattendus, un cliffhanger chouette mais supportable, et surtout plein plein plein d'action et de belles scènes. Il y avait assez de fanservice et de whump dans cet épisode pour me faire oublier le précédent qui était très mou du genou.

C'est marrant parce que j'ai un souvenir distinct de l'avoir téléchargé, ce pilote, gardé un moment même ; j'avais fait un aperçu, trouvé ça meh, et viré parce que trop canadien. Mais en fait, c'est plus qu'agréable à regarder. La fin était bien cruelle dans son genre, j'ai bien aimé. Les personnages/acteurs sont intéressants, il y a un certain potentiel. Pas certaine de kiffer l'intrigue à base de voyages dans le temps pour sauver l'humanité, mais... c'est assez cliché pour titiller mon amour des clichés, on va dire.

Moins "wow" que les autres finales (et je m'étais spoilé plein de trucs, ça n'aidait pas). Il n'empêche que la chute de Latimer/Dubenich était marrante et bien orchestrée, et la fin moins glauque qu'on aurait pu attendre (un peu ridicule même). C'était sympa de retrouver tout plein de personnages secondaires, même si je pensais, à tort, qu'on revoyait Sterling dans cet épisode.