Glauque glauque glauque. On ne sait toujours pas à quoi joue le type de la sécurité intérieure, mais ça ne m'inspire rien de bon. Jana part en couille, Jokke ne va pas mieux, Ineke vire dingo... A ce stade il ne restera plus personne (à part les connards) d'ici l'épisode 5. C'était, par moments, limite crétin (j'ai repensé à Between, c'est dire), mais d'un autre côté, même si les solutions proposées pour enrayer l'épidémie semblent un peu merdiques du point de vue des gens enfermés, ça fait sens d'un point de vue extérieur. Hâte de voir le rôle que le journaliste va jouer, c'était hilarant de le voir offrir une saucisse à l'autre empaffée de Lommers, en short devant son barbecue.

Mais c'est affreux... Ou comment sortir traumatisé d'un épisode au demeurant très positif. Cet épisode avait de grandes envolées lyriques absolument sublimes ; c'était très inattendu de les voir tous quitter les confins de New York et le confort de la "modernité" et de se retrouver dans divers états plus ou moins civilisés. D'un autre côté, tout était également très précipité, et j'aurais aimé qu'ils passent plus de temps à développer l'ensemble (mais il ne reste que 2 épisodes, et l'intrigue a déjà subi tellement de retournements). Dans le fond, cette fin est la chose la moins bien écrite de l'ensemble.

Cet épisode sorti de nulle part était une super nouvelle, mais en plus, il tient drôlement bien la route, avec un bon ratio entre avancée de l'intrigue, whump débile, et scènes de SF vraiment magnifiques. C'est juste super dommage que ça ne dure que 25 min.

Moins wahou que le premier, mais ça restait un bon épisode qui remettait mieux les choses en place que dans le premier (j'avoue que j'avais oublié une partie des collègues de Jana et tout ce qui s'était passé dans le labo). Je ne pensais pas qu'ils tueraient Lex. (Je ne pensais pas que Jokke survivrait donc bon...) C'était... un peu radical et abrupt (et gore), mais ça a le mérite de fournir un bon moteur pour la suite de l'histoire, dans et hors du cordon.

Pas compris la fin. S'ils avaient le son dans l'appart depuis le départ, pourquoi s'emmerder avec le stylo dans le sac ? Bref, épisode laborieux, j'attendais qu'il se passe quelque chose, et ce n'est jamais arrivé. La scène de l'église était bien pensée, mais ce n'était pas assez approfondi.

Ça fait juste trois ans que j'attends ce moment, et putain ce que c'était bon. Pas uniquement parce que j'en avais rêvé la nuit, mais parce qu'ils ont mis le paquet dans tous les domaines. C'est gore, c'est glauque, c'est tragique et rythmé. Pas une seconde de répit pour les personnages, ils en martyrisent un et font sauter l'autre en l'espace d'un épisode, et je sais que ça ne va pas s'arranger d'après mes petits aperçus de resynchro... Les développements sur la prison sont super intéressants et bien amenés. J'avais peur que ça fasse pièce rapportée, mais ça se tient. Et voir Cannaerts paniquer complet, et Lommers se faire remettre (un peu) à sa place était jouissif. Reste que le flamand est toujours une langue étrange.

Bon épisode, mais putain j'ai lutté pour pas m'endormir.

Épisode déprimant et énervant. Que des choses désagréables mises à la suite, c'était pénible. Et ils finissent par buter le personnage qu'ils avaient vaguement réussi à rendre intéressant, à défaut d'être sympathique, au bout de trois quatre épisodes. C'était bien la peine.

Ouf je me suis endormie à la moitié, c'était pas glorieux du tout.

Sympa, un peu mièvre et répétitif, mais bon, ils aiment bien les épisodes à thème visiblement, et c'était assez satisfaisant de voir toutes ces horreurs arriver à des connards.