J'ai été un peu étonnée que personne ne fasse révérence au tueur de The Big Game/Revelations (saison 2), qui piratait les ordinateurs de ses victimes à distance, mais d'une certaine manière la tête de Reid quand ils assistent impuissants au meurtre en direct de la 4e victime en dit assez.

Cet épisode était vraiment prenant, je me suis rongé les ongles du début à la fin ; la critique des réseaux sociaux est bien menée, et vraiment inquiétante. Je suis contente d'avoir cédé à un accès de paranoïa l'autre jour et d'avoir vérifié la confidentialité de toute les conneries qu'on peut raconter sur internet...

Un autre truc qui m'a dérangée au plus haut point, mais là je pense que c'est la pirate parano en moi qui parle, c'est la facilité avec laquelle le FBI peut (en apparence) traquer une personne sur la Toile et l'arrêter. Okay, là c'était des pourris, des voyeurs, des pervers complices d'un meurtrier, mais quand même... Erreur judiciaire, anyone ?

Oh et la tronche de Rossi quand Reid entre dans le bureau avec sa nouvelle coupe de cheveux ? Priceless :D

Il était vraiment parfait cet épisode ; Garcia-centric, délocalisé en Alaska, hunting-centric, mais bien mené, bien expliqué, avec une mise en abyme intéressante sur le fait qu'ils développent l'intrigue au fur et à mesure pour le spectateur sous prétexte de faire leur profil.

Tim Olyphant est juste trop sexy *meurt*

Sinon, Sean Bridgers en guest, je crois que tous les acteurs de Deadwood vont passer par cette série (lui aussi je l'ai reconnu à la voix, c'est marrant). Stephen Root aussi, très bon, en juge excentrique.

Un bon épisode, l'intrigue principale était intéressante, même si elle est expédiée à la fin avec une classe et une désinvolture hors du commun. L'intrigue de fond, les manigances de Crowder dans les bois, sont prenantes aussi, et je me demande où ça va nous mener.

Justified, la série avec les meilleures scènes d'intro :D A chaque fois je suis scotchée juste avant le générique.

Bon. J'ai passé les 2/3 de l'épisode à agripper ce que je pouvais en tentant de pas fermer les yeux et en grinçant des dents. C'était horrible, horrible, horrible. Bien amené, logiquement, avec des moments magnifiquement réalisés, et un développement des personnages admirable, mais arg quoi...

Mais alors la fin. J'avoue que tout ce que j'ai pensé se résume à "gné ?". Ils m'ont perdue là. C'est la fin la plus anticlimatique qu'ils aient faite. Mais bon, après tout c'est logique, descente aux enfers, depuis plusieurs saisons, ça ne pouvait pas continuer.

Enfin j'avoue qu'avant l'arrivée de Cuddy je prévoyais un suicide par vicodine. Et puis, comme dit House, qui nous dit qu'il est pas en train d'halluciner ? Du coup : gné ?

HS, mais je me faisais la réflexion un peu tirée par les cheveux que Shawn Spencer (Psych) était la version gaie de Greggory House (ou House la version sombre et torturée de Shawn).

Tous les deux sont des pitres, ils voient des choses que les autres ne voient pas, ont des méthodes non conventionnelles, sont rabroués par l'autorité mais n'en n'ont rien à faire, et puis de toute façon c'est eux qui ont raison au final donc on les laisse faire, comme une espèce de bête curieuse et vaguement amusante.

Sauf que House, il se détruit de l'intérieur, et Shawn... on sait pas trop parce que la série est joyeuse et qu'elle a tendance à éviter le angst, mais il y a quelques aspects noirs aussi dans ce personnage, et des non dits intéressants, bref je divague, mais Psych me manque.

Firefly : "we all know it will be on for years" *facepalms*

Excellent cet épisode, ils auraient pu/dû en faire un il y a longtemps, d'épisode flashback. J'ai bien aimé les références internes, et la fin, même si, bon, c'était pas le plus drôle de tous.

Un très bon épisode, un peu gâché par sa fin, à mon avis.

Pendant les deux tiers j'ai pas arrêté de me dire que cet épisode était prodigieux, prenant, bien fait, terrifiant tout en étant kitch à souhait (les attaques de vieux). Du très grand Who, et même du classic who, si on va par là.

Le personnage du Dreamlord me faisait penser à ces personnages des toutes premières saisons, à la fois joueurs et très très noirs. ... Afficher davantage

J'ai adoré cet alternance entre deux mondes, les divers aspects oniriques de chacun : les flocons de neige, le soleil froid, le silence du TARDIS, c'était admirable.

La fin est un peu cruche, en comparaison (mais je suis soulagée qu'Amy ait "choisi" Rory) ; j'ai été déçue que la solution ait été expédiée si rapidement, et surtout je m'attendais vraiment, jusqu'à la fin, qu'il s'agisse d'un ennemi déjà rencontré dans les Classics (j'étais partie sur le Toymaker, mais je pense que c'est surtout à cause du personnage du DreamLord et de sa composition particulière).

Là, ça faisait un peu téléphoné, cette poussière machin, enfin bon, soit, mais c'était trop rapide ; ils auraient facilement pu faire des choses beaucoup plus frappantes avec l'idée d'un double sombre du Docteur. J'espère que ça va revenir en tout cas.

Donc : je suis conquise par la dynamique Doc/Rory/Amy. J'aime que le Docteur soit totalement naïf et paumé, même si la fin insiste sur cette partie angsty!Doc bien sombre, aux facettes multiples, qui tend à transparaitre cette saison.
Du whump en douceur, nice, très très bon.

Bonne écriture sur cet épisode. Le prochain a l'air bof bof, mais je suis quand même un peu plus rassurée qu'en début de saison.

Oh mon dieu. Toute pensée cohérente a quitté mon corps et mon esprit, et à la fin j’ai la bouche ouverte et les yeux fixés à l’écran noir, c’est juste terrifiant.

Je ne sais même pas par où commencer, et à quel point je dis bravo, merci et putain mais vous avez failli me tuer !

Déjà. A plusieurs reprises au cours de l’épisode, j’ai pensé, avec beaucoup de précision, à la critique négative que j’allais faire de cet épisode. Peut-être parce que j’en attendais trop, et subitement je me suis rendue compte à quel point cette fin vers laquelle toute la saison 5 menait est kitch, téléphonée et débile. Surjouée. J’ai eu peur, j’ai eu peur de devoir dire : je n’aime plus, je suis déçue.

Quand Michael (dans le frère caché Adam) et Lucifer (dans Sam) sont partis pour s’affronter, deux frères, le père absent, blahblah... Mon cerveau a crié, non ! Ya des limites à ce que je peux endurer pour un fandom. Et là !! là ! C’est là que le prodigieux se produit. Dean, au volant de l’Impala, Def Leppard à fond, qui débaroule en milieu du angst familial de merde et c’est BEAU !

L’horreur absolue du combat final, sans Michael en fin de compte, prend vraiment aux tripes, et là j’ai rien à redire, c’était juste énorme, du niveau du final de la saison 1 ou de l’avant dernier de la saison 2. Poignant, bien fait, horrible.
La promesse, toujours des promesses, en plus des secrets.

Et la fin renoue avec la tradition Supernatural des personnages ressuscités et des secrets. Mais forcément, après l’Apocalypse, c’est sur une plus grande échelle.

Je l’avoue, j’ai chialé à la fin. Parce que Dean a enfin eu ce qu’il désirait sans jamais oser se l’avouer (cf. l’épisode dans le monde du Djinn et dans le monde des rêves). C’est inversé, et c’est bon. On se doute que ça ne durera pas, et que le secret sera pulvérisé en cours de saison 6, mais je suis en joie, à un point inimaginable face à cette fin. Un peu de répit pour Dean, même si c’est pour respecter une promesse et grâce à un secret.

Human!Castiel n’est plus. Mais il était trop pathétique, vraiment, ça n’aurait pas pu durer. La fin en quelque sorte c’est la négation de The End, 5x04, Lucifer n’est plus triomphant, le monde n’est plus à feu et à sang, Dean n’est plus un guerrier sans cœur qui a l’espoir insensé de sauver son frère, et Castiel n’est plus humain. Enfin, quand même, le faire exploser, et tuer Bobby juste après, c’était un peu trop pour mon petit cœur.

Et... oh. Chuck. Ça aussi, c’était un des trucs qui ne me plaisait pas dans cet épisode, et que j’avais l’intention ferme de critiquer ; ce récit en voix off du supposé prophète-auteur alcoolique, qui annonce le deus ex machina (de toute beauté, là je dis pas, donner une place pareille à l’Impala c’était légitime et bienvenu), c’était un peu craignos. Mais la fin, et le sourire, et la disparition. Oh.

Mais mais mais c'est quoi cette fin d'épisode en forme de rien ? Raaah !

Le thème du racisme abordé d'une drôle de façon, enfin bon, c'est pas si mal quand même.

Oh my. Ils ont fait dans le gore de chez gore pour cet épisode :O

Excellent, excellent. Je crois que j'ai trouvé mon maitre en terme d'anglais et d'écriture. Il y a de tout, des dialogues recherchés, des dialogues faussement érudits, des dialogues orduriers, des accents différents, des débits différents, c'est le paradis.
Oh que j'aime ces personnages !

Al reprend un peu du poil de bête, et Johnny ne se sent plus ; pauvre Dan, enfin je préfère qu'il soit perturbé à mort. Yeah, go Bullock, et raaah bordel Alma.

Voilà, ça résume sans spoiler :D

PTSD for Swearengen, the Nigger General returning to the camp, alliances are hard to make, and Bullock is full of inner rage.