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12 novembre 2012

Elementary - 1x06 - Flight Risk

Ma réaction : iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii *flail de fangirl* Je le savais, je le savais, iiii. J'adore.
La fin était belle. Le passage avec l'acteur était drôle, et sombre aussi. Les secrets, la définition de l'amitié, c'est pile poil ça.
L'enquête était chouette, retournement pas du tout anticipé (alors qu'en fait j'aurais dû, mais mon cerveau était débranché). Plaisant, vraiment fort plaisant, à tous égards.
Iiii.

C'est tout méli mélo par rapport à la chronologie du canon, mais j'ai envie de dire YES, bring it on! <3<3

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4 octobre 2012

Supernatural - 8x01 - We Need to Talk About Kevin

FLAIL PUISSANCE 130. Après ça c'est un peu calmé, mais ça restait très très très très potentiellement flailant. Et la fin. Oh my.

Carver, je l'attendais au tournant. Il est parti
pendant l'ère Gamble, il était là aux débuts. Ouvrir la saison 8, sa saison, avec le speech de Dean en opening sur toutes les Kripke-saisons, c'était juste parfait, ça lui a valu un cri du cœur et un bon point. Enchaîner avec Jethro Tull, je me suis mise à flailer. Continuer avec du beau whump/WTF sur le retour de Dean, et enchaîner moins de trois minutes après sur du fucking STYX, c'était trop pour mon coeur, et j'ai flailé flailé flailé encore. Parce que putain, putain, je les attendais au tournant. La saison qui n'existe pas, et la saison 7 qui remontait lentement la pente après ça, je veux plus, jamais. Là, on a la musique, on a les secrets, on a les références aux saisons précédentes (les vraies, les cinq premières, les Kripke-saisons), on a un Dean PTSD pour pas changer, Sam qui a gardé l'Impala (parce que, juste parce que). Family business, mais tout en vrac. C'était beau, et flailant et flailant encore un peu.

L'intrigue qui s'amorce est BIEN (mieux que ce que j'avais lu d'un oeil, en tout cas, je vais partir sur du spoiler-free cette saison je sens). Le pote échappé du purgatoire est intriguant et l'acteur est kiffant. La mort incertaine de Cas ajoute un peu de flou. Crowley est toujours aussi parfait (il m'a saoulé dans la saison 6, mais comme cette saison n'existe pas, ça va). Le prophète etc, ça m'a moins gonflé que prévu, très bon point pour eux.
J'ai de grands espoirs cette saison *o*

2 octobre 2012

Adventure Time - 4x12a - The Hard Easy

Oh, my, Glob. C'était un 100e épisode proprement épique. Beau, et bien fait, et drôle et wtf juste ce qu'il faut. Les poissons à pattes totalement blasés, c'était chouette, la pluie pluie pluie et marais aussi, la grenouille géante et la fin, c'était wowowow. L'ensemble était hilarant, et j'aime d'amour cette série. ♥

24 juillet 2012

Adventure Time - 4x08a - Sons of Mars

What the? Whut. What?
C'était un des épisodes les plus confusants de l'histoire des épisodes d'Adventure Time. :o <- j'ai fait cette tête tout du long, et même après. Tellement de bons trucs, tellement de trucs vraiment louches. Ils sont frappadingues.

C'est magnifique quoi *o*
Et Lincoln en King of Mars. Et la maison toute pleine de dirt du Magic Man. Le simple fait que cet univers contienne un type appelé Magic Man. Les références bizarres et magnifiques. Le whatthefuckery ambiant.

16 juin 2012

Psych - 6x01 - Shawn Rescues Darth Vader

1/3 iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii 1/3 ♥♥♥♥♥♥♥♥♥ and 1/3 OMG !!!

C'était... wow. Le flashback à la fin. Le début totalement gniihihhihihisant. Retrouver Shawn ♥ Le génériiiiiiiiiiique. Woody !! Les décors previously seen in SPN (perturbaaaaant). Les accents. Les blagues nulles sur les anglais, l'immunité diplomatique et Lethal Weapon 2. Shawn's bucket list. J'ai pas vu l'ananas ! ><

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3 juin 2012

Hatfields & McCoys - Part 2

A la toute fin seulement, le mot est lâché : c'est une seconde guerre civile qui s'amorce, cette fois entre le Kentucky et la Virginie Occidentale.

La première partie devenait vraiment épique à partir du dernier tiers. Là, c'est plutôt l'inverse : un début terrible et beau à la fois, monstrueux et triste, tellement bien raconté, et une fin d'épisode plus classique dans sa construction.
Je craignais la répétition, la longueur, ou la prise de partie, au final, rien de tout ça. On ne peut jamais accorder plus de crédit à un bord ou à un autre. Au final tous ont leurs défauts, leurs raisons, leurs codes de moralité. C'est cruel et sanglant au possible, mais l'intrigue ne tombe jamais dans le manichéisme ou la simplicité. C'est du grand spectacle.

 

2 juin 2012

Hatfields & McCoys - Part 1

La dernière demie heure m'a achevée, alors que j'ai maté tout le début d'un oeil mi-admiratif mi-circonspect. Mais putain la fin, c'était puissant. Et triste.
1 h 45 dignes d'un film, sauf que c'est pas fini, le pied quoi. La photographie et la musique sont soignées, les acteurs sont tous superbes, et le scénario se suit bien, même si le début était un peu haché et confus.
On est parachutés en pleine guerre de sécession, et c'est un peu dur de discerner qui fait quoi, qui en veut à qui. Puis les soldats rentrent chez eux, et la guerre se termine, mais les rancœurs demeurent. Du western ultra classique, mais réellement bien fait.
Et puis la situation s'envenime, et tourne au règlement de compte généralisé. Le rythme s'accélère et les ellipses se font moins fréquentes. L'histoire d'amour totalement vouée à l'échec dès le départ ajoute une touche dramatique qui m'a achevée, mais ça donnait plus de cœur à l'ensemble.
A suivre donc...
Je comprends les audiences (assez phénoménales) que ça a eu il y a trois jours. Je comprends aussi les critiques partagés qui sont remontées. C'est une tranche d'histoire, c'est critiquable, c'est cruel. Ça a le mérite d'être bien fait.

21 mai 2012

Magic City - 1x06 - The Harder They Fall

Ouh punaise, ouh punaise. En subbant le 105, je me faisais la réflexion que tout fonctionne en miroirs, et cet épisode en était l'exemple parfait. Les fils Evans sont le reflet de Ike, les femmes respectives du méchant Ben Diamond et du shaddy Ike Evans sont le reflet l'une de l'autre, les choix et les dialogues se font écho d'un épisode sur l'autre.
Cet épisode, le 3e avant la fin donc, était magnifique. Terriblement prenant, rapide, angoissant et sauvage. Le rythme lent des cinq précédents leur a permis une concision magnifique dans cet épisode là. Le sort s'acharne, et Dieu merci, la série est déjà renouvelée, sinon j'aurais eu des inquiétudes quant au finale.

16 mars 2012

Adventure Time - pourquoi c'est génial

C'est un dessin animé. Tout mignon/bizarre, au choix. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que ça commence in media res, avec du très très bizarre. Qui se passe d'explications, curieusement.

On est parachutés dans un monde futuriste/fantaisiste/étrange, avec des petits personnages en forme de gâteaux, et des zombies accros au sucre, des princesses, un chien élastique qui parle, un nuage tout plein de bosses, et autres cocasseries.

C'est déjanté, mais c'est bon, pourquoi pas. On part du principe que c'est un truc pour gosses et donc du grand n'importe quoi.

Sauf qu'au bout d'un tout petit moment (une dizaine d'épisodes), on se rend compte que c'est tout sauf simpliste ou "pour les gamins". L'écriture est surprenante, dans son emploi quasi constant de mots vieux, bizarres, recherchés, peu communs. Le genre de trucs qu'on s'attendrait jamais à entendre dans un show débile pour les gamins.

Et pourtant le but premier de ces détours linguistiques semble être celui d'éviter les gros mots et les tournures familières, chose ultra classique dans les dessins animés.

Le postulat, dans ma tête, serait "on vous propose une série folle, sans queue ni tête en apparence, mais on vous la fournit dans un anglais remarquable".

En fait, leur langue, c'est un conglomérat de néologismes, de mots d'enfants, de moyen anglais vaguement parodique et de "hip" language tout droit sorti des 60s. C'est déconcertant et extrêmement plaisant.

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