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Sérivore
revolution
25 septembre 2012

Revolution - 1x02 - Chained Heat

Moins bien, et en même temps mieux. C'est dur, parce qu'un côté j'ai envie de fangirliser à mort, pour tout ce que l'histoire implique, pour les personnages, pour le whump et tout, et de l'autre ya mon esprit critique qui trouve que certains passages sonnent faux, que la réalisation est plate...

Et puis... il y a ces flashbacks qui font horriblement mal au cœur, et ces putain de scènes parfaites. Parce que Charlie est juste, parce que les non dits sont puissants. Parce que Monroe est un chouette méchant, et que putain ça se complique. Parce que c'est un monde qui donne envie d'y croire.

C'est du 28 Days Later sans les zombies, du Ravage sans les morts en décomposition, du Lost sans l'île, du Supernatural sans les démons. C'est chouette.

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16 septembre 2012

Revolution - 1x01 - Pilot

Le trailer et les choix scénaristiques (flashforward de 15 ans après le blackout + gros focus sur la famille qui rappelait Terra Nova) m'inspirait vraiment pas du tout. Tous ceux qui ont maté ou presque - amis & critiques - on trouvé globalement que c'était pourri.

Mais bon. Kripke quoi. Je pense pas que je me sois sentie obligée d'aimer, ou obligée de prendre le contre-pied de la majorité, même si ça m'arrive souvent. Mais j'ai adoré. Vraiment adoré. A mes yeux, c'est un excellent pilote, et une excellent série qui s'annonce.

La plupart des critiques que j'ai lues regrettaient le peu de flashbacks, la cassure trop nette et brutale entre passé et présent. Moi, j'ai trouvé ça bien vu. Les rares flashbacks sont cruels et tristes, on oscille pas sans cesse entre présent et passé parce que le passé est mort et enterré. La boîte à souvenir de Charly, les vestiges du passé épars, c'était bien vu. La révélation finale sur l'identité du "méchant" m'a pris de court, alors que techniquement c'était prévisible.

L'aspect famille, bizarrement, ça m'a pas énervé une seule seconde. La mère est morte (dear Kripke, stop killing the moms, please) dès le départ, le père suit peu après (bis repetita), et la relation Charly/Danny était totalement SPN-iène. Même écart d'âge, même "you got to look after your brother". La famille, c'est sacré, c'est ce qui fait les héros. L'oncle est badass, même si ok, je le reconnais, ses scènes faisaient très cliché. Mais on s'en fout, les combats étaient chouette, le whump cool.
Oh le whump. Merci pour l'attention au détail, chose que je n'avais pas retrouvé dans Terra Nova, et qui m'avait contrainte d'arrêter après trois épisodes. Dans une série comme ça, qui se veut réaliste, si ya pas cette attention au détail, c'est mort. Le sang, les cheveux mal coiffés, la badasserie des combats, c'était satisfaisant.

Les décors, les effets spéciaux et les costumes étaient vraiment chouettes, bien mieux que sur Terra Nova, encore une fois. Parce que ça faisait moins "décor planté là paf", et bien plus réel. Parce que les CGI faisaient pas saigner les yeux, et qu'ils s'en sont bien tirés pour donner une impression d'immensité avec pas grand-chose.


Les acteurs sont chouettes, et aucun des jeunes ne m'a énervée (contrairement à TN, et contrairement à ce que j'ai lu dans les critiques diverses...). En temps normal, je n'aime pas les shows qui reposent sur les épaules d'une héroïne. Je pense que c'est parce que généralement les personnages féminins sont mal écrits, et que voir des pouffes manucurées et permanentées casse tout le délire SF. Sauf que là, Charly, elle a mon adhésion pleine et entière. Elle est cool, belle, brute et sensible à la fois. La famille avant tout, les souvenirs d'un passé joyeux qu'on lui a arraché, yaddi yadda, on est en plein dans du Kripke encore une fois. Et je kiffe, à mort.

Esposito est bon en méchant, mais pas aussi terrifiant que dans Breaking Bad. Heureusement.

Moi vouloir suite, vite.

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