Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Sérivore
revolution
5 octobre 2013

Revolution - 2x02 - There Will Be Blood

Whaaaaaaat.
Sérieusement.
WTF is happening.
C'était... bizarre. Comme un épisode mal balancé de SPN, avec plein de trucs dans tous les sens, des moments de pur bonheur fangirlisant (en vrac, Miles dans une cage, Monroe attaché, du sang, du sang, des
bagarres, les références télévisuelles hilarantes, les sous-entendus même pas légers que Charlie serait potentiellement la fille de Monroe, la fin, l'unique flash black, le creepy Governor-wannabee...), mais aussi plein de vide et de passages mal foutus. Le premier épisode avait trop de flash backs et manquait de fluidité. Celui-là courait dans tous les sens et manquait de flash backs. Mais putain que c'était bon. Et flippant.

I had a theory last night, that they emphasised the eye color on purpose, showing that Monroe's and Charlie's matched, and on the other hand, Rachel's and her father's were identical (but different from the first set). But... then they had that flashback/hallucination/right in the feels thingy with Ben. Ben's eyes are actually the right color for him to still be Charlie's father. So. I don't know. Doubts everywhere. I really really don't want Charlie and Monroe to get sentimentally involved, though. Trying to protect/murder each other, fine by me, but love? Nah.

Publicité
Publicité
28 septembre 2013

Revolution - 2x01 - Born in the USA

Je peux même pas commencer à expliquer l'état dans lequel cet épisode m'a mise. C'est du niveau de la saison 2 de Supernatural, vraiment. Quand on avait terminé une saison un peu con sur de l'horreur absolue, et qu'on reprend en terrain inconnu. Kripke est toujours omniprésent, et c'est bon. Les gens pleurent en entendant "Ramble On" et parlent de la voix de Dieu, j'ai pleuré moi aussi tellement c'était parfait comme remarque.

Et donc, ils sont allés jusqu'au bout de leur raisonnement scénaristique. A la fin, les bombes ont explosé, Atlanta, Philadelphie ont été rayées de la carte. Et il n'y a de nouveau plus de courant, mais de jolies lucioles et des mystères mystérieux à la place. Le setting dans la ville fortifiée (enfin, "fortifiée"), avec le shérif, le docteur, les petits gens, ça m'a fait penser à Defiance en mieux. En mieux parce que les personnages sont connus et ont une importance à mes yeux. Il y a du sens dans leurs paroles, mais surtout dans leurs silences. C'était flippant à quel point les morts étaient présents, que ce soit dans les paroles ou dans les non dits.

Comme dans la saison 1, ils se dépatouillent avec pas beaucoup de moyens, ça se sent, et en même temps ça fonctionne. Parce que ça tient avec trois bouts de ficelle, mais que c'est inventif. Parce que les personnages surpassent les décors en carton. Beaucoup, beaucoup de pistes dans cet épisode, beaucoup (trop) de flash backs également. Mais ça donne diablement envie de savoir la suite. C'était le but, je suppose.

Et Charlie est devenue une bombasse manipulatrice et dangereuse, je KIFFE. Tout le monde est brisé, tout le monde est traumatisé. Monroe s'appelle maintenant Jimmy fucking King, et c'est parfait parfait parfait.

4 juin 2013

Revolution - 1x20 - The Dark Tower (finale)

...ou comment me briser vingt fois le cœur en 45 minutes, avant de me ravager le cerveau avec une fin logique, monstrueuse et parfaite.

(A la fin, je spoile la fin. Logique.)

C'était du Kripke. A mort. C'était du fanservice qui fait retour sur lui-mêm
e, et c'était bon.
Ouvrir sur un recap, ça a déjà était fait, et c'était beau. Can't Find My Way Home, ça colle, ça fait plaisir au cœur et aux oreilles.

Le putain de clin d'oeil, explication non verbale entre Miles et Monroe, c'était flailant à mort. Et la bagarre dès qu'ils sont sauvés. Et les flash backs qui expliquent ce qui manquait cruellement depuis le début : le pourquoi Miles s'est retourné contre Monroe.

Neville était encore une fois parfait, peut-être encore plus que tout le reste. Cet acteur est vraiment terrifiant. Et merci, merci Neville d'avoir enfin soulevé le noeud du problème et d'avoir parlé ouvertement à Monroe, j'étais pliée. Le sauvetage, c'était plus que flailant, c'était LE truc qui devait arriver, ou sinon j'aurais rage quitté. Mais non content de le sauver, Miles lui explique pourquoi, pourquoi bordel, et c'était parfait.

La course au niveau 12, pleine d'embûches, d'explosions et de petits bouts de gens sur les murs, c'était chouette. Au final, j'ai plus pensé au dernier épisode de la saison 1 de The Walking Dead qu'à Lost. Rachel brise (encore une fois) le cœur de sa fille (et le mien, et celui de Miles indirectement) en laissant mourir Nora, et franchement j'ai les boules, mais je m'y attendais. J'ai passé tout l'épisode à craindre pour la vie de tout le monde, donc un seul mort passe encore. Mais snif quand même. Cruel.

Mais alors la fin ! La putain de fin à la fois pas crédible (genre pendant 15 ans, les centrales nucléaires, électriques, les réseaux, les installations électriques sont restés en état ?), et m'a décroché la mâchoire à cause des implications. Ça remarche : que s'empresse de faire la présidente de la Géorgie ? Ordonner qu'on envoie des tanks et des avions sur feu la République de Monroe (comme s'il avait besoin de ça, le pauvre, après s'être fait jeter comme une vieille chaussette psychotique par tout le monde...). Puis arrive Flynn. Bien planqué. Tada, et vas-y que je te lance des putains de missiles de partout, et putain vas-y que je suis en fait un rebelle, et vas-y que je me fais sauter la cervelle et ARG putain wtf le président est à Cuba *dead*

28 mai 2013

Revolution - 1x19 - Children of Men

Quand je regarde des séries à haute teneur en flail (c'est-à-dire où les critiques cèdent la place à une acceptation irrationnelle d'à peu près tout, quoi qu'il arrive), j'ai toujours une espèce de commentaire constant dans la tête. Je catalogue le flail, en quelque sorte, je commente mon propre investissement dans l'épisode que je regarde. Et dernièrement, à chaque épisode, mon commentaire est en train d'agoniser tellement il en peut plus. Tout du long, j'ai paniqué. Avec des petits pics d'intensité. Mais vraiment, vraiment, faut qu'ils arrêtent, c'est même plus du fanservice, c'est de la télépathie. Après, bon, on peut critiquer. Le blabla scientifique plus que nawak. Les aspects risibles de leur conception de la politique. Les effets spéciaux. Le jeu d'acteur. Le dernier segment cumulait un peu tout ça, et l'épisode aurait été nettement plus puissant s'il s'était terminé sur la confrontation Miles/Monroe. Mais je pense que j'aurais fini d'hyperventiler et que je serais morte avant le dernier épisode. On peut critiquer, ou on peut écouter son commentaire intérieur qui dit FUCK IT I QUIT et qui flaile gentiment depuis une heure.

21 mai 2013

Revolution - 1x18 - Clue

FUCK ME.

S'il y avait pas eu ce léger flottement vers le milieu, avec leur petit jeu de chaises musicales version tueur infiltré, ça aurait été un des épisodes les plus jouissifs de l'année, toutes séries confondues. L'enchaînement inéluctable d'horribles horribles événements, entraînant des conséquences encore plus horribles, et le sentiment d'assister impuissant au délitement total de l'univers tout entier et tous les personnages qui le composent, ça m'a violemment rappelé l'époque bénie des premières saisons de Supernatural. Quand tout se casse subitement la gueule, quand les coups pleuvent, quand on hyperventile à chaque seconde, et qu'on ne peut rien faire pour éviter la fin qui se profile. C'est cruel et violent, et tout du long j'avais une litanie de "non non non non non" dans la tête. Juste grandiose.

C'est drôle, parce que j'avais deux épisodes à voir ce soir, le dernier Defiance, et le dernier Revolution ; ces deux séries étaient assez similaires, dans mon esprit, à cause des décors cheap et des facilités scénaristiques. L'épisode de Defiance était pourri, cet épisode était monstrueux et terrible. Revolution l'emporte, parce que quand ils se délivrent de leurs petits délires à base de guerre civile, quand tout fout le camp, quand on entre dans le cœur de la série, au centre, c'est du Eric Kripke, noir sur blanc. Plus que deux épisodes, cette série va me tuer.

Publicité
Publicité
17 mai 2013

Revolution - 1x17 - The Longest Day

Il y avait encore une fois de beaux moments pleins d'intensité (rip, Lucifer alias Jeremy, le dernier ami de Bath...), et d'autres d'une niaiserie sans bornes. Du sang, plein de sang, des explosions, des drones, des réparations d'os totalement gore et folles à la fois. C'est inventif, dans leur merdier, c'est un vrai flot de... trucs. Des trucs dans tous les sens, on a le sentiment du mec qui s'éclate tout seul avec ses personnages, dans un grand délire. Et je kiffe, et je veux savoir la suite, et je tiens à tous ces personnages un peu cons, un peu géniaux. Jusqu'à la fin, je n'arriverai pas à voir les mauvais côtés de cette série, c'est trop chouette.

16 mai 2013

Revolution - 1x16 - The Love Boat

LA FIN.
Episode bateau (haha !), mais avec plein de moments vraiment horribles et flailants. Un peu trop de gore à mon goût, j'ai dû fermer les yeux plusieurs fois, faut pas faire des trucs pareils... Tellement de gens qui retournent leur veste plus
ieurs fois par épisode, c'était chaud à suivre.
Et tout du long la petite partie de mon cerveau qui pense aux révisions me racontait des histoires de parallèles avec la Révolution américaine et la guerre de Sécession. Tous les symboles sont là (les drapeaux, la cloche dans le précédent épisode...), c'est une guerre qu'on a sous les yeux, avec ses généraux, ses couleurs et ses horreurs.
C'est pas du tout ce pour quoi j'avais signé quand j'ai commencé à regarder la série, mais l'idée d'une saison en deux parties, diamétralement opposées et centrées, dans le fond, sur l'importance de la famille et la relation conflictuelle Miles/Monroe tient plutôt bien la route, en fait.

16 mai 2013

Revolution - 1x15 - Home

L'avantage d'être émotionnellement investie dans une série, c'est qu'on lui passe tout. Ses incohérences, ses dialogues niais, ses effets spéciaux ratés, ses incongruités. Parce qu'on s'attache non pas aux détails et à l'histoire effective, mais aux non dits et aux à côtés, les creux, les interstices. Encore une fois, c'est du beau Kripke, et de la belle série ratée. Encore une fois, j'ai vu du slash tout partout où il n'y a rien à voir, j'ai chialé comme une idiote, et j'ai flailé à la fin. Parce que je suis émotionnellement investie, ou alors parce que c'est chouette, dans le fond, si on se prend pas trop la tête.

23 avril 2013

Revolution - 1x14 - The Night the Lights Went Out in Georgia

Oh. Quelques grands moments de frappadinguerie, du fanservice à MORT, et une intrigue politique plus grande que la série ne peut probablement le supporter (mais j'admire qu'ils essaient). Le suspense final était un peu foiré (on se doute bien qu'ils vont pas buter trois personnages principaux d'un coup), mais ça faisait tout de même son petit effet.

23 avril 2013

Revolution - 1x13 - The Song Remains the Same

Oh goody. Aucun flash back, une chanson de Led Zep en guise de titre, et une explication du black out en plein dans ta face dans les 10 premières minutes. Le reste oscillait entre le niais et le dément, le très bien joué et la soupe. Avec de grandes apnées mentales, ça passait tout à fait.

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 > >>
Sérivore
Publicité
Publicité