Un épisode bien niais, avec quelques bons trucs (je plains les traducteurs XD) et une fin vraiment chouette.

Huhuhu. Un bon épisode bien bordélique, avec du whump, des gens tous nus, des méchants méchants, des méchants cons, de vieux méchants, des méchants sexy... Oh boy.
"He's fine, his head absorbed most of the shock" *lol*

Je sais même pas par où commencer tellement tout tout tout était parfait. Du whump au début, histoire de reprendre vraiment à la fin de la saison 2. Du whump ensuite, parce que Raylan n'est pas un surhomme, et c'était bon. Du whump pour continuer, parce que c'est toujours bon de faire passer des gens à travers des portes vitrées pour débuter une saison.
D'anciens méchants, de nouveaux méchants, des rapports de force qui évoluent. Plein de guests, des accents à mourir.
Une réalisation sans faille, une photographie sublime, une bande son parfaite. Le truc étudié, dans tous les sens du terme ; un pied sans nom.
Et la promo à la fin, pour bien bien te faire baver, et bah c'est gagné.

Walt qui fait l'autruche, Jesse qui tente de dealer en solo, Hank en plein PTSD sur la trace dur RV. C'était bien, logique, intéressant, bien. La multiplication des points de vue était un peu casse gueule, mais au final c'était bien géré.

C'était triste, beau et grand. J'ai adoré.

‎:( j'ai pas aimé

C'est pourri pourri. Ça commençait bien pourtant. C'était beau, intelligent, drôle. Et puis c'est parti en couille je sais pas trop à quel moment. Et on s'est retrouvé devant un épisode de Scoubidou sous amphétamines. Nul. Plus que nul, chiant et mauvais. J'ai été déçue, horriblement. J'ai les boules là. Les boules de pas avoir aimé. Genre c'est ma faute. Je me sens trahie, c'est débile. Même pas sûre d'avoir envie de mater le dernier du coup. J'ai perdu 1 h 30 de ma vie sur un truc bancal et ridicule. Okay.

J'ai pas aimé parce que c'était OOC et hors de Londres. C'était dérangeant, et pas la bonne sorte. C'était énervant et cruel. J'avais pas envie de voir ça.

En fait j'ai détesté l'idée qu'en un épisode ils détruisent tout ce qu'ils avaient mis quatre épisodes à établir, le fait que non, Sherlock n'était pas un sociopathe, et que oui, il avait des sentiments. Et là flan, fichu par terre.

Je me sens lésée.

Un épisode bien, juste bien. Où il se passait pas grand-chose, mais tout était à sa place et sonnait juste, où tout ouvrait des pistes pour la suite. En plus j'ai tout compris quand ils parlaient espagnols, j'ai l'impression d'être intelligente u_u

Oh.

Reprenons. J'ai été éblouie. Bouleversée. Je suis passée d'états en états, du rire aux larmes en quelques minutes, de la détresse mentale à l'idée qu'ils aient foutu en l'air le personnage d'Irène Adler à l'amour fou pour ce qu'ils en avaient fait.
Rien que le début, j'en avais les larmes aux yeux. Et puis. Tout. Le fait que ça suive parfois mot pour mot la nouvelle d'origine. La modernisation, le glissement de sens perpétuel. Le triangle amoureux - les allusions constantes, tellement belles. Je sais que je me fais mener par le bout du nez, je sais que c'est voulu, mais j'ai pris mon pied. C'était impossible autrement.
C'était beau, la musique était géniale - j'ai eu envie de revoir les premiers (pour la 12e fois), j'ai eu envie de revoir cet épisode avant même qu'il soit fini. J'ai eu envie d'être chacun des personnages, j'ai eu envie de vivre dans la série. Je...
Oh.
Juste oh.
Il faut que je relise les livres.
J'aime.
*cerveau fondu - end of transmission*

Breaking Bad - 3x01 - No Mas

What the fuck was that ?
Excellent épisode, mais sentiment épique de WTF tout du long.
Y avait pas un moment où j'avais l'impression de voir un lent glissement de le néant et la folie. Bonne reprise (enfin, pour ma part ya pas eu de coupure hin hin), bonne amorce de saison.

Breaking Bad - 3x02 - Caballo Sin Nombre

Jesse qui récupère sa maison, Walt qui pète des câbles, les tueurs aux santiags bizarres qui finalement le tuent pas (oh my la fin quoi). Un bel épisode.
J'ai retrouvé un truc que j'avais adoré dans la saison 1, et pas trop retrouvé dans la 2, la musique, qui souligne les actions, révèle les états. C'était bien.

Je me disais, au cours de l'épisode, que c'était flippant à quel point c'était symboliquement construit. Tout a son miroir, chaque action a ses conséquences, on a presque l'impression de voir l'intérieur de l'esprit des personnages, et tout un tas de petits rouages qui tictictoquent à chaque épisode. C'est dément.

AWESOME !

AWESOMELY AWESOME, et c'est même pas encore suffisant pour décrire le pied que c'était.
Eliot Ness est un hunter. Paradox Dean l'a influencé pour qu'il ressemble au Ness du film. Back to the Future references x2
Du whump, des putains de belles scènes, une fin magnifique. Trop trop drôle, terrifiant (putain j'ai sursauté comme une conne, c'était génial), tout pour plaire.
Le seul truc que j'y reprocherais, c'est que ça durait pas assez longtemps, qu'il faut maintenant attendre jusqu'au 3 février (putaaaaain) et que la scène répétée faisait un peu con. Mais wow quoi. J'attendais rien rien de cet épisode (à part revoir Jason Dohring ♥), et wow.