12 Monkeys - 1x07 - The Keys
*pterodactyl screeches*
Ça faisait longtemps que j'avais pas chialé de rage devant une série-con. Genre. Sérieux. C'est tellement trop cruel.
Cette série, cet épisode, c'est un espèce de Nikita + time travel. Et pas seulement à cause des deux acteurs, mais aussi à cause du ton totalement guilleret, et des machins d'espion à la fois cliché et pas crédibles, mais chouettes quand même. Ton guilleret qui vire à la TRAGEDIE en moins de quatre minutes, t'as rien compris à ce qui t'arrivait et t'es en train de gesticuler devant ton écran parce que c'est trop d'un coup pour le cœur...
Mais en plus, ya du paradoxe temporel dans tous les coins, et c'était tellement maitrisé et inventif, j'ai été estomaquée. L'épisode en lui-même forme un tout tellement génial, j'ai encore une fois eu envie de le remater dès qu'il a été fini, ça craint. Pas bon pour la santé mentale du tout.
Avec en plus du fangirlisme comblé au centuple (je vais commencer à militer pour qu'il y ait moins de whump, parce que là vraiment ça commence à être trop horrible...), je sais plus où donner de la tête avec ce truc.
L'intrigue faisait beaucoup penser à Revolution, pour le coup. Même si c'est la CIA et pas le DOD, c'est globalement le même délire de l'arme ultra top secrète qui échappe à ses créateurs et paf, fin du monde. J'ai hâte qu'on revoie Leeland en 1987 du coup, c'est tout mystérieux tout plein.
Après tout le côté espionnage low cost, avec les décors hum et les acteurs doublés (au moins l'accent est potable), ça m'a rappelé Special Ops Force, une autre série pourrite que j'adorais, à laquelle j'ai repensé à cause de Nikita (le monde est petit hin hin). Bref. BRAIF. Je veux la suite. Iiii.
Vivent les spoilers, cela dit, sinon je l'aurais mal vécu leur cliff de tarés là.