J'arrive pas à déterminer si c'est concrètement moins bien que la saison 1, ou si j'ai juste un coup de barre/vieux subit qui fait que je m'endors avant la fin à chaque fois.

Quelle déception. C'est long, méandreux, limité pénible. Je me suis endormie. Mais bien. Preuve que c'est pas si mauvais, ça reste lancinant et gentiment berçant, en fond. Pas convaincue par les coupes de cheveux, pas convaincue par les personnages, pas convaincue par l'intrigue. Je n'aime pas sa femme, je n'aime pas que son pote soit mort. Je n'aime pas le concept des pilotes d'1h15. La musique était bien.

Je me suis violemment endormie dessus hier soir, ça devrait être interdit de mettre deux épisodes à la suite sans aucune coupure discernable. Du coup j'en étais à me dire que peut-être la saison 2 allait me gaver, c'est vieux et en SD, tout de même, et je regarde ça par entêtement plus qu'autre chose, mais... En regardant la fin (mieux réveillée), je lui ai trouvé plein de qualités et de profondeur, à ce début de saison. De l'humour, malgré des passages très dark, de bons choix musicaux.

J'aime beaucoup le décalage entre l'impression que faisait Russell dans cet épisode (un gros, moche, macho, mais aussi tendre, aimant, sensible, qui dit les choses sans détours) et l'impression dans le pilote (un gros misogyne de merde). Il a fallu un bel effort d'écriture et un bon acteur, pour arriver à ça.

J'étais pas dedans, mais alors pas du tout. Cette histoire d'indices cachés me gaaaaaaaaaaave mais d'une force. Et le pire c'est que quand j'ai vu un truc qui semble avoir un rapport lointain avec la choucroute (les affiches avec "phase - for discerning listeners" dans le métro), j'ai quand même fait un petit "ah !" en mode, yeah, j'ai trouvé un truc. Mais ça m'a quand même gavé.

Excellentissime, fucked up et cringe worthy à parts égales. C'est la première fois qu'ils me font chialer. Il y avait des passages vraiment affreux, à la limite du supportable (sûrement à cause des échos de fics, et parce que les acteurs se donnaient vraiment à fond). La fin est grand-guignolesque au possible, un peu comme l'élément déclencheur dans le pilote. C'est lourdingue, volontairement (ou alors peut-être qu'il y a dix ans ça passait pour une réalisation artistique, mais ça a mal vieilli).

Sentiments conflictuels quand dans la même scène Byrd a l'air d'avoir 12 ans/ d'un chien battu et Beth est sexy à mort dans son jean raz du cul.
Mais sinon je regarde pour le plot, vrai de vrai !
La grand-mère et son cancer, c'est cruel et glauque. Les histoires de coeur/cul des parents, ça m'énerve, mais c'est relativement bien vu/amené. Russell et sa poule en cloque, je ne sais pas trop quoi en faire pour l'instant - la logique voudrait que ça lui sorte un peu la tête du cul et qu'il devienne une meilleure personne, mais c'est pas trop le genre de la série...

"Nooooooooo..." = me, at the scenario unfolding.
C'était sympa à regarder, mais intellectuellement et moralement désagréable. Tous ces gens riches et beaux qui foutent leur vie en l'air parce qu'ils sont pas fichus de voir plus loin que leur petite personne... Grr.

Je crois que c'était douze fois plus bizarre après avoir lu cette immense fic sur les relations humaines et les gens qui flirtent. C'était désagréable de les voir tous saboter de bonnes relations (des relations fonctionnelles, établies, connues) pour se lancer dans des flirts bizarres et voués à l'échec (?). Le plus triste dans l'histoire, c'est Russell qui vire parano et se fait virer... Je sens que ça va pas me plaire, s'il tombe au fond du trou.

Stressant de bout en bout. Pas totalement désagréable, mais dans l'ensemble c'était trop sérieux et trop nawak à la fois.

Ouch, cruel la fin. Bon épisode, bonne suite du précédent. Pas mal de trucs déjà vus déjà faits, mais... ça reste très sympathique à regarder.