Premier épisode sans spoilers, mais du genre SANS SPOILERS. (Je savais juste que Castiel revenait, à cause de twitter, enfin on s'en serait douté quand même).
Bon.
Par où commencer ?
Tout au long de l'épisode, je me disais "c'est parfait, c'est génial, c'est superbe.... la fin va être moisie". Et puis NON c'est beau et bien fait jusqu'à la toute fin ! OMG
Pestilence et tout le trip à l'hôpital, c'était dégueu, vaguement ridicule, mais j'ai adoré quand même, parce que c'était enfin du BON WHUMP. Oh et human!Cas c'est juste ♥ in a twisted sort of way.
Crowley et le pacte avec Bobby. Ôo juste wow quoi. De l'humour énorme en plein milieu de cet épisode tout angsty, tout affreux, c'était magnifique.
Death. Juste.... superbe. L'acteur, la voiture, la musique, la ville, la tempête, le resto, tout est parfait. "I'm as old as God. Maybe older. I'll reap him too." OMG Un personnage définitivement pratchettien, je suis fan, très très fan.
Angsty self-sacrificing Sammy, ça ça change pas, en fait si c'est pas l'un c'est l'autre. Bon.
Le recours un peu facile au frère possédé par Michael pour éviter le truc manichéen Sam versus Dean, evil versus good, à la fin. Certes.
Crowley in and out la voiture et le "I found him" à l'extérieur de la pizzeria en gesticulant, c'était énorme. De l'humour idiot, facile, pour alléger le ton.
Des zombies. Enfin des Croatoan zombies, mais ça ne se refuse pas quand même.
Wet hair kink. Sorry. Can't help it.
Hum. La suite la suite la suiiiite. Et la politique anti-spoilers est plus que jamais de rigueur !
Et quand même, Julian Richings en Death, c'est une riche idée *o*