Wonderland - 1x13 - Messages (finale)
Oh merde quelle fin horrible (toutes proportions gardées). C'était triste pour une comédie... Je surkiffe à quel point les accents deviennent prononcés dès qu'ils s'excitent un peu, c'était magnifique.
Oh merde quelle fin horrible (toutes proportions gardées). C'était triste pour une comédie... Je surkiffe à quel point les accents deviennent prononcés dès qu'ils s'excitent un peu, c'était magnifique.
Nooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
De toutes les fins possibles, et il n'y en avait pas des masses non plus, c'est probablement la pire/meilleure et celle que je n'avais pas du tout anticipé. La putain de fin ouverte sans qu'on sache si c'est renouvelé ou non. Dans tous les cas, c'est un crève-coeur, parce que je me suis enfilé les épisodes à une vitesse malsaine, et que dans tous les cas, il faudra attendre. Eternellement si c'est annulé, un an ou deux s'ils ont assez de culot pour renouveler.
Si on fait une moyenne des épisodes que j'ai trouvé exceptionnels et des épisodes juste bizarres/bof, c'est l'exceptionnel qui l'emporte haut la main. Pour Michael Dorman pour qui j'ai un attachement flippant, mais pas que, loin de là.
Il y a de la justesse dans énormément de choses, et les trois chansons dans ce finale m'ont tuée, j'étais torturée ; American Pie et sa réaction physique, la chanson pour son frère et le chien, et Perfect Day, oh Perfect Day. Il y a des chansons qui ne sont pas censées être réutilisées dans autre chose, et celle-là en est une. C'est Trainspotting, point. Mais. Putain qu'est-ce qu'elle était bien utilisée ici.
Bref. Non. Ça ne va pas, mais ça pourrait être pire - le leitmotiv de la série, en somme.
And the motherfucking hug with Ichabod/Death. Je veux dire, le mec a joué d'autres choses, mais... il a aussi joué la Mort dans Supernatural, et ce n'est pas rien. Et (il faut que je vérifie), mais il me semble que c'est le seul personnage a prononcer le mot dépression, et pas juste à tourner autour du pot. Cette scène était ridicule, certes, mais... très très très flippante et juste et métaphorique, aussi. Cette série est juste une immense métaphore à base d'escaliers et de A to B.
Le son faisait que sauter, c'était chiant. J'espère que c'est l'épisode et pas encore le lecteur qui m'a inventé un nouveau bug. Grml.
Bon épisode, ils sont allés au bout de leurs idées. Un léger manque de tension, les ellipses sont pas tellement réussies, mais ça restait très sympa.
Bon, ils n'ont pas tué tout l'hôpital, en fin de compte, même si ça s'annonçait plus que mal. J'ai ri de trucs terriblement nazes (les seaux avec le sigle du CDC mal fait dessus, lol) ; et j'ai flippé de scènes vraiment excellentes (le patient zéro notamment...). J'ai apprécié que leur porteur sain soit un inconnu, et pas un des docteurs de l'équipe. Bonne fin, bon épisode, même s'il faut parfois (souvent) laisser son sens critique au vestiaire...
Ah bah si. Boom. C'était inattendu et tellement cruel, j'ai adoré. Je ne pensais pas qu'ils iraient aussi loin, mais c'est bien aussi de ne pas savoir. Pas fan absolue de l'histoire d'amour, qui me semble un peu forcée, mais bon, on fait avec. Contrairement à la fin de la saison 1, je vois plein de pistes potentielles pour la suite, c'est chouette.
(Une question se pose : ont-ils réutilisé le set de Dexter avec tous les cadavres emballés dans le hangar ?)
Oh no. C'était cruel cruel tout ça. Un peu long (1 h 30 d'épisode, pas vraiment indispensable je trouve), mais avec assez de twists et de pétages de plombs pour que ça reste intéressant.
Qu'est-ce que c'est mieux quand les Russes sont joués par de vrais Russes... Bref, une fin en forme de rien, comme je le présentais, mais tout ce qui précédait était épique et bien stressant - le shooting dans les bois était... très bien. Parfois à la limite du crédible (le motel juuuuste dans la ligne de mire depuis la crête), mais bon, on s'en fout. J'ai bien aimé le petit twist sur la révélation finale (avec une porte ouverte pour une suite pas du tout fourre-tout).
So good! Comme je kiffe les univers parallèles et les histoires alternatives. C'était tellement tellement tellement parfait dans la construction, tout était à sa place, j'étais en joie comme une abrutie tout du long. Et j'ai crisé sur la fin, parce que la scène d'ouverture, avec le gros plan sur les yeux et la main ensanglantée, ça m'a trop rappelé Sliders, et à la fin, il y avait JERRY O'CONNELL en young!Lancelot putain. La gamine de douze ans qui habite encore dans mon corps n'en pouvait plus.
Après enquête (arf, tarée, etc), il s'avère que ce n'était pas l'épisode auquel je pensais, et que les deux éléments (l'oeil et la main) sont séparés d''un hiatus de saison... Mais mon coeur de fangirl a quand même été touché.
J'ai presque envie de les revoir.
Han, quel finale débile et joyeux ! Je ne m'attendais pas du tout à ça, après l'épisode précédent. J'adore la capacité qu'ils ont à me surprendre sans cesse. On ne sait jamais si ça va être sérieux, ultra con, flippant... Ici c'était une parodie d'élection en forme d'entourloupe pour coincer Moreau, et ça fonctionnait pas mal du tout.
*whale noises, but with a smile*
Quelle était bien, cette fin. Que c'était beau et "prudemment optimiste". Que de chemin parcouru depuis le premier épisode. Les échos, que ce soit dans la mise en scène ou dans l'écriture, étaient superbes, comme toujours. C'était tellement bon de ne plus douter, de ne plus rager, de ne plus se morfondre dans un univers sans issue.
Monkey bread and peach cobbler.