Oh dear. Les flashbacks étaient la perfection incarnée, celle qui fait sens, comme un coup de poing dans le plexus. Neville est toujours aussi exceptionnel (il fait un excellent Cecil headcanon, plus j'y pense), et sa plotline gagne de l'intérêt à mesure que le temps passe. Le micmac avec le grand-père, j'ai pas trop aimé. Sûrement de vagues souvenirs du grandpa couteau dans le dos de la saison 6 de SPN. Mais bondieu qu'il y avait du matériel pour rêvasser à autre chose - potentiel slash explosé. Ils sont sur la corde ; à la limite de l'immoralité, quand on voit à quel point ils arrivent à rendre pathétique et humain un personnage détestable. Parce que dans le fond, ça a toujours été Miles, le boucher, celui qui avait des idées drastiques pour leur survie.

C'était joli tout plein. Jolis décors, jolis acteurs, jolie histoire. C'est bien si on se détache du reste, et qu'on prend les choses comme elles viennent, en fait... Mettre le cerveau sur pause, et laisser se dérouler leur délire. J'avais pas capté que Miles se faisait carrément appeler Stu Redman... ils ont poussé l'hommage un peu loin, enfin c'est Kripke. Pauvre Texas Ranger, il aura pas fait long feu. Et la fin, ralala. Monroe, c'est un peu un chien taré qui est tout heureux mais qui fait que de la merde, et qui se rend pas compte à quel point le reste de la meute lui en veut pour ça. Bref.