Un gros sentiment de wtf constant quand même. C'est pas mauvais-mauvais, mais c'est globalement pas génial quand même. On aurait dit un des ces épisodes un peu délirant, un peu dépressif de l'époque de la funpocalypse dans Supernatural. D'ailleurs on avait déjà eu un couple de méchants qui parlaient avec des mots à la Ned Flanders. C'était frustrant que l'intrigue se finisse en rien, ce la dit : on ne sait toujours pas pourquoi ni pour qui ils kidnappaient des gamins. A force de ne rien dire, ils vont finir par tourner en rond, j'en ai peur. Il y avait de jolies scènes, esthétiquement sympa (Penguin, notamment), et d'autres vraiment zarbi/ratées (sa mère). Je sais pas vraiment si c'est censé être drôle ou pas, du coup je mate ça avec un peu de circonspection.

Oh dear que c'est con. C'est vraiment super mauvais, et d'un autre côté c'est fort rigolo. Des petites références qui trainent (twinkies !), des scènes totalement jouissives, et d'autres un peu poussives, mais ça se laisse voir.

J'ai trouvé épatant les différences énormes dans le degré d'implication des différents acteurs. En fait, plus ils jouent mal, plus ils meurent vite. Yen a, on dirait qu'ils visent l'oscar du "second rôle dans une série de zombies", ça ferait presque pleurer tellement ils y croient, et d'autres, plus mauvais tu fais pas, et t'es content quand ils meurent.

OLALALA. C'était épiquement génial. Je pensais pas qu'ils en avaient gardé autant sous le pied, généralement le pilote envoie tout, et après c'est dilué, mais là qu'est-ce que ça devient flippant ! C'est méga compliqué, mais bizarrement on a aucun mal à suivre. Sans doute parce que l'ensemble est vraiment bien écrit, et qu'on n'a plus qu'à leur faire confiance pour nous amener où bon leur semble.
C'est ça que je trouve superbe en fait, la double tonalité, histoire humaine et histoire d'enquête journalistique. C'est complexe, mais on décroche pas, jamais, parce que les personnages sont réels et qu'on s'attache énormément.
Après, le mystère reste entier, voire s'épaissit un peu plus encore. Les témoins tombent comme des mouches, c'est angoissant à souhait.

Série australienne en 6 épisodes à base de hacker informatique perturbé, de secret d'état et de meurtre chelou. Ça m'a beaucoup rappelé la version originale de State of Play, que j'ai jamais fini parce que le blabla juridico-politique m'endort. Là c'était un peu soporifique, surtout que je voyais pas bien le rapport entre la série et le résumé imdb. Mais il y avait des éléments intrigants, et puis l'Australie c'est joli quand même. Le mystère est sympa sans plus, mais la fin est tellement, horriblement cruelle que je suis contrainte et forcée de mater la suite quoi qu'il advienne...

On aurait dit un joyeux mix entre une fic Numbers et une fic Nathan Barley. La relation entre les deux frères, le journaliste et le hacker perturbé était très sympa.

Les cliffhangers sur un esprit faible, c'est le mal. Ça fait depuis hier que je cogite toutes les issues possibles, de la situation cliché au retournement de situation surprenant... Heureusement que le 2e épisode sort aujourd'hui...

J'ai tenu un quart de l'épisode, mais c'est vraiment tout à jeter. Les accents sont mauvais ou énervants, l'intrigue n'a aucun intérêt, Scott Bakula est vieux vieux vieux, l'ensemble fait toc à mort.

J'étais pas partie pour aimer du tout (je regarde peu de séries judiciaires, le jargon me saoule, et encore moins de séries centrées sur des étudiants, j'en ai assez soupé et c'est généralement ultra caricatural), mais au final j'ai pas décroché du début à la fin, et je pense que si la suite maintient le même rythme et le même degré de suspense, ça peut faire un truc vraiment pas mal.
Ce pilote, c'était une histoire de meurtre, liée à un autre meurtre, entremêlé avec un procès pour un troisième meurtre. C'est tout aussi macabre et malsain que le laissait supposer la bande annonce. J'ai adoré l'aspect Cluedo, et tous les non-dits à dérouler ; chaque personnage est potentiellement suspect, c'est magnifique.

J'ai pleuré au début, j'ai pleuré à la fin, et puis au milieu il y avait du feu et des bouches à incendie explosées. C'était... égal à soi-même : une série facile, qui joue du violon du début à la fin, mais aussi une série dynamique, propre et plaisante. On y rentre comme dans du beurre, on les avait laissés il y a 4 mois, et c'est reparti directement, sans pause, sans essoufflement. C'est cruel et triste et tout ce qu'on veut, mais c'est bien.
Ils ont été bien salauds de tuer Shay, cela dit. C'était un de mes personnages préférés, et j'espère qu'ils vont repartir de plus belle sans s’appesantir des épisodes entiers. Quelque part, avec l'ellipse, les flashbacks et les larmes à la fin, on le sentiment qu'on a fait le tour des répercussions immédiates.

Juste après le générique, je me suis dit, si ça se trouve, elle est juste dans le coma ou une connerie du style, et à la fin elle va se réveiller, et ce sera une happy end. Et puis ya ce plan horrible avec Dawson devant le portrait dans le hall... Ouin. Et en même temps merci à eux de ne pas m'avoir laissée me fourvoyer avec mon espoir idiot. Hermit!Severide était cool, cela dit.

J'attendais rien de particulier, et c'était sympatoche sans plus, on va dire. Le mec qui fait les bruitages et la musique doit prendre de l'ecstasy, parce que l'ensemble était d'un goût douteux et pas toujours à propos. A part ça, c'était joli à regarder, bien rythmé, avec quelques personnages sympas, et une galerie de persos du comic version enfant/jeune/avant la chute. Ça se suit bien, après vont-ils pouvoir meubler avec ça pendant x épisodes, c'est un mystère.

Merde. C'était pas censé être drôle et mal fait ? Parce que c'est rudement déprimant et très bien foutu. On apprend que les zombies sont inflammables, que la NSA est toute puissante, que les chiens peuvent être zombifiés... C'était en gros du Walking Dead avec un but. Okay, le but est débile (amener le non-infecté con comme une bite en Californie), mais au moins yen a un. C'est pas un déversoir de désespoir, qui brise espoir et joie de vivre à chaque épisode. Et puis ya de la musique cool.

J'ai trouvé limite dommage qu'ils frisent le ridicule à plusieurs moments, en fait. C'était presque crédible et chouette, une espèce d'hommage chelou à Day of the Dead. Mais les acteurs sont pas tous crédibles (le méchant Travis sorti de nulle part, heureusement qu'il est vite mort parce qu'il me sortait par les yeux), et il y a des scènes vraiment à la limite du foutage de gueule. Mais parfois, c'est chouette. C'est vif, rythmé, un peu facile ; ça fait pas mal au cerveau, il y a des explosions. A voir s'ils arrivent à tenir la distance, mais pour le moment le contrat est rempli : chouette road movie pas trop dégueu à regarder.

Oooh. Tous ces nouveaux personnages, ces petits bouts d'intrigue, c'était biiien. Il y avait des scènes un peu hum, où les dialogues et l'accent sonnaient un peu faux, et d'autres qui étaient vraiment magnifiques. Loretta ! J'ai repensé à cette fic magnifique à base de zombies. Elle était dudement bien écrite pour le coup. J'ai aussi repensé à Mags, c'était le bon temps. Bref, on va de développement en développement, ça s'annonce bien. Mais c'est vraiment une série qui supporte mal le format hebdomadaire, en fait. Si je devais attendre une semaine pour voir le suivant, je serais vite saoulée.