La fin est merf trop grosses ficelles, mais le reste de l'épisode était vraiment superbe. Triste et drôle, avec juste ce qu'il faut de clins d'oeil, juste ce qu'il faut de sous-entendus. C'est rare qu'une série avec un bébé ne me fasse pas grincer des dents, mais c'était bien fait, bien mené. Matt Smith est vraiment *le* Docteur. Parfois j'avais un peu des doutes, parfois je le trouvais trop jeune, trop bizarre, trop caricatural. Et d'autres fois, comme dans cet épisode, il est parfait. Vieux et jeune à fois, sage et fou, émerveillé et las. C'était bien chouette.

Hum. Je suis partagée, vraiment. A certains instants, je me disais que c'était du grand Who, comme on n'en avait plus vu depuis deux, trois saisons. Du genre qui donne des frissons, qui donne envie de chialer sans que ce soit triste.
Et puis à d'autres moments, c'était guignol, c'était bancal, c'était bof.
Et entre les deux il y a toutes ces questions, ces "mais, alors, il y avait quoi dans la pièce du Docteur ?" et autres questions sans réponse. Perturbant, mais pas le bon genre de perturbant.
Oh, et j'ai pas du tout aimé tout ce préchi-prêcha religieux. J'y arrive pas, ça coince, j'y peux rien.

Oh wow. Ca commençait très con et cliché et tout faisait toc. Et puis... j'avais pas vu venir tout ce développement, et au final c'était terriblement sombre et triste :'(

Un épisode moyen bof. Une fois qu'on a compris le truc, ça fait plus peur du tout. Les ficelles étaient un peu grosses, la fin un peu mièvre. Quelques bons moments, mais vraiment trop brefs.

En fait je pense qu'un épisode est raté quand tu passes plus de temps à penser au décor et aux costumes qu'à l'intrigue u_u

J'ai RIEN vu venir. RIEN. A aucun moment. Cerveau freezé. C'était horrible et drôle et perturbant et beau et logique et bizarre et parfait et ohmy la fin.

Là je suis en train de m'interroger sur plusieurs trucs. Du genre, pourquoi cette erreur de date à la fin (5131 = 52e siècle, alors que River/Silence in the Library se passe au 51e - j'en étais à me demander si River avait un bracelet temporel comme Jack). Et aussi comment young!Melody a pu revenir en Ecosse, et dans la time line de ses parents. Aidée par le Silence, ok, mais c'est un peu faible à mon goût.
Je n'avais pas lu de spoiler, pas vu de bande annonce, pas lu vos critiques ni aucune critique. Je fais partie de ceux qui ont failli jeter l'éponge au cours du début de la saison 6, qui ont maudit Moffatt (en levant un poing rageur vers le ciel). J'ai regardé le 6x07 à contre-cœur (et j'ai aimé, et chialé comme une merde, mais passons).

Donc, je partais pas vraiment en fan conquise, et pourtant j'ai adoré.
Pourquoi ?

Parce que c'était drôle, mais jamais grand-guignol (ça manquait de verser dans la parodie toutes les deux répliques, mais ça se tenait, ça se tenait étonnamment bien pour un épisode mettant en scène Hitler).

Parce que personnellement j'aime énormément ce développement sur River Song. Parce que ça va dans le sens de mes idées personnelles, et que je me fais toute ma petite histoire dans ma tête avec tous les non-dits de l'épisode (que lui a-t-il chuchoté à l'oreille ? son nom), et j'aime ça.

J'ai complètement déliré à l'idée d'un vaisseau entier peuplé de gens miniaturisés. C'était tellement stupide, pas crédible, et pourtant ça marchait, c'était bien fait, suspension of disbelief, toussa...

Le rythme était bon, même si comme certains l'ont dit il n'y avait pas des masses de scénario. Et après tout je m'en fous, parce que je me suis pas ennuyée un instant (contrairement au 6x05-6, qui avait un plot, et qui m'a donné envie de me pendre).
Tous les rebondissements m'ont pris absolument par surprise (je suis bon public, vous pouvez le dire), et quand Mel s'est régénérée, j'avais la bouche ouverte en mode *o* je l'avais pas vu venir.

D'accord, il n'y avait pas la même poésie, le même désespoir qu'à la fin de Forest of the Dead (le nombre de fois que j'ai pu revoir cette scène, je peux la réciter de mémoire, c'est terrifiant), mais ça n'en restait pas moins très juste et très bien vu. Clins d'oeils, fan service, m'en fous, ça m'a touchée, et c'est tout ce que je demande à cette série. Pas de me prendre la tête, pas de m'énerver, pas de m'angoisser, juste de me toucher.

Alors, comme une gosse, je ne suis pas plus perturbée que ça par le revirement de Melody/River Song. Parce que comme l'a dit je sais plus qui, elle vient d'échapper à l'Enfer, elle a été sauvée par le Docteur, elle se rend compte, ne serait-ce que de manière confuse et instinctive, qu'elle a avec lui des liens qui vont au-delà du simple conditionnement. Elle veut à la fois le tuer et l'épouser.

J'ai aimé, énormément aimé. Et puis le prochain a l'air d'un beau filler/monster of the week episode, alors vous plaignez pas.

There are no words to describe the beauty of this episode. And now I have faith again.

J'ai de nouveau foi, non pas en Moffat, mais en le Docteur.
Tout le développement sur le nom, et sa signification, l'importance que sa légende a pris... à mes yeux, c'est ça, Doctor Who. C'est ça qui me fait vibrer, que me fait rêver, qui me... donne envie d'en savoir plus.

Dans cet épisode, le Docteur est pathétique, médiocre, en colère. Il est tout l'opposé de ce que ses ennemis disent de lui. C'était anticlimatique au possible, et j'ai adoré.

En bref : le début est juste sublime, j'ai chialé comme une conne (effets résiduels de United States of Tara juste avant, peut-être), la suite part un peu en brioche, mais je pense que c'est surtout l'angoisse d'un cliffhanger merdique et de questions sans réponses qui m'emmerdait. Au final on n'a rien de tout ça, et on a bel et bien une fin.

C'était mauvais, répétitif, mal joué, glauque, compliqué, malsain.

Doctor Who, c'est pas censé donner mal à la tête, c'est pas censé donner des cauchemars, c'est censé être regardable par des enfants, des enfants bordel ! Eh bah si j'avais des gosses, ils regarderaient pas cette saison ><

Bon. J'ai adoré, mais ils auraient mieux fait d'en faire un épisode isolé en une seule partie...
L'ensemble était bon, même si ça me faisait vaguement penser à autre chose, sans que j'ai pu trouver quoi. C'était sombre, digne d'un épisode de Torchwood en fait - plus de réflexions sur la mort, l'éthique et les choix qu'on fait, moins de blagues et de non-sense. Même s'il en restait quand même pas mal.

SUPERBE.
C'était beau, et drôle, et logique, et conforme au canon, tout en jouant avec les règles. C'était réaliste dans la mesure du possible, de la bonne SF, avec la patte Gaiman, ce qui ne gâche rien. Les acteurs étaient géniaux (mis à part la voix off de "House", qui faisait un peu niais).
Tout le passage dans les corridors, avec le méchant qui essaie de les tuer était terriblement cheap et juste génial, ça sentait le classique à plein nez, c'était parfait.
La fin. Pour une fois elle est bonne. Drôle et triste et belle.

Hum. Le début est ridicule, et quelque part ça marche, si on n'attend pas plus qu'une comédie. Ensuite... c'est du Doctor Who classique et concon. Jusqu'à cette fin. Bizarre. Que je préfère, d'une certaine manière, à l'explication surnaturelle du début, vu que c'est ce que j'ai reproché à la dernière saison. Mais qui n'en reste pas moins bancale.

En fait je trouve surtout le "fil rouge à la Moffatt" très très chiant, moche, lourd et mal amené. Je veux parler bien sûr de cette madame stupidement bizarre avec son cache oeil ridicule qui vit dans les murs de l'esprit d'Amy. Et cette non-grossesse potentielle. C'est ridicule. On va encore se frapper des pseudo-indices perpétuels dans chaque épisode, sans rien biter, jusqu'au finale incompréhensiblement explicatif. Fuuuuu.
Je pense que je vais pas regarder la suite avant que la saison soit terminée.