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Sérivore
the walking dead
26 avril 2014

The Walking Dead - 4x07 - Dead Weight

La fin du two-parter sur les aventures du Governor après Woodbury. C'était extrêmement dérangeant, bien plus que l'épisode précédent. Dans l'ensemble, ça sentait le test run pour le spin-off : est-on capable de s'intéresser pendant deux heures à un autre groupe de survivants. J'aurais tendance à dire que oui, même si l'attrait principal dans l'épisode c'était la folie furieuse du Governor, jamais oubliée, et les parallèles multiples et bienvenus avec les débuts du camp de Rick.

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25 avril 2014

The Walking Dead - 4x06 - Live Bait

Hmmm. Ils ont fait fort. Un épisode encore plus plein de rien que d'habitude, entièrement centré sur le Governor, pas réellement original, et pourtant, on se fait (presque) pas chier, et l'intrigue avance un peu.
Quasiment tout dans l'épisode donnait
des impressions de déjà vu. L'histoire de la famille retranchée dans l'immeuble délabré, c'était du 28 Days Later. L'hospice plein de patients morts, il ressemblait furieusement à l'hosto dans la 3e série de webisodes. Je pense même que c'était les mêmes décors. Même le camion de bouffe devant l'immeuble, ça avait des relents de Zombieland.
Mais il y avait des moments bien horrifiques, et d'autres vraiment "vrais". Je sais pas comment Morrissey se démerde, mais on arrive à s'attacher à son personnage de gros connard, et oublier tous les autres personnages qu'il a joué avant ça.

Et puis il y avait la trope essentielle de tout film d'horreur/de zombies : quand un type est tout seul et n'a plus le goût à la vie, il ne meurt jamais. Il a beau se trouver dans les pires situations, il s'en sort. Dès qu'ils sont plus de deux, ça s'annule, et il finit par y avoir des morts et du drama. Un mec tout seul, il s'en tire parce que s'il crève, il n'y a personne pour le voir souffrir, et c'est plus drôle.

25 avril 2014

The Walking Dead - 4x05 - Internment

Sssss cette fin. J'ai gesticulé inutilement devant mon écran en faisant la grimace. Bien sûr qu'ils ne pouvaient pas revenir au status quo des plantations de tomates. Forcément qu'une nouvelle embûche surviendrait.
Un vrai carnage, cet épisode. Alors,
oui, il y avait pas mal de trucs critiquables et peu crédibles (le grillage qui tient avec des rondins de bois, la maladie chelou à incubation et développement variable), et toujours leur connerie de préserver l'innocence des enfants, au mépris du danger.
Belles scènes d'action. Bien horrible tout du long. J'ai vraiment cru que Glenn allait y passer. Ça aurait été possible, mais peu cohérent aussi tôt dans la saison.

25 avril 2014

The Walking Dead - 4x04 - Indifference

Scavenging, scavenging. C'était un petit épisode sympa, plein d'action et de déplacements, mais où il ne se passait pas grand chose, paradoxalement. Les deux groupes suivent le même schéma narratif : un objectif (médicaments/nourriture), des ennuis mécaniques et des questionnements philosophiques et moraux à la pelle. Daryl va pas être content du tout que Rick ait dit à Carol de partir. Pas du tout.

24 avril 2014

The Walking Dead - 4x03 - Isolation

Le combat. Le combat ! Le Combat ! J'attendais ce moment depuis deux saisons. J'attendais ce moment depuis qu'ils ont foutu les pieds dans la prison, depuis qu'ils ont introduit le personnage de Tyreese. J'attendais, j'attendais, je n'espérais même plus tellement tout avait changé. Et juste au moment où je n'y pensais même plus, ce putain de combat entre Rick et Tyreese qui a enfin lieu. Et c'était de toute beauté ; ils ont bien intégré les deux autres personnages forts qui n'existent que dans la série, Carol et Daryl, c'était vraiment très bien foutu.
Pareil pour le combat dans les bois, et Tyreese contre une horde entière - version revisitée du combat dans la prison, excellent.
Je crois que j'ai arrêté de respirer plusieurs fois. Cette horde de folie dans la forêt...
L'épisode entier était cruel et logique à la fois ; comme la décision de Carol de brûler les malades, celle de Hershel d'aller les aider et celle de Rick de reprendre les armes, dans tous les sens du terme.

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24 avril 2014

The Walking Dead - 4x02 - Infected

Fuuuuuck, quel pied...
En deux épisodes, ils ont réussi à mieux saisir toute la partie prison du comic book qu'en 16 épisodes de la saison 3. Les gamines, le zombie appelé Nick, les barrières qui commencent à céder... ce sentiment d'urgence et de fausse sécurité à la fois.
L'épidémie, c'est bien trouvé. C'est marrant, parce que c'est un thème qui revenait très souvent dans les fanfictions écrites entre la saison 2 et la 3, pour combler l'hiver dans la prison qu'on n'a pas vu. A voir comment ils vont développer ça, mais pour le moment c'est juste génial. Les personnages tombent comme des mouches, et ils ont repris à leur compte le "no one's safe" de Kirkman.
Tout le passage avec Michonne et le bébé m'a fait chialer. S'ils pouvaient ne pas la tuer Lori-style, ça m'arrangerait.

24 avril 2014

The Walking Dead - 4x01 - 30 Days Without an Accident

Aw. En un épisode, absolument tout ce que j'aurais voulu voir dans la saison 3 concernant la vie dans la prison. L'organisation, l'agriculture, les walkers qui s'accumulent devant les grilles, le bruit constant, la notion de temps qui passe. C'était bien vu, bien amené. Tout un tas de petits détails imbriqués les uns dans les autres, avec tout du long une impression de monotonie trompeuse.
Les nouveaux personnages m'ont fait le même effet que dans le pilote : un énervement diffus, et une recherche constante pour raccrocher les wagons avec le comic book. Mais on sent le potentiel derrière plusieurs, les rôles sont définis, les personnages sont dynamiques ; c'est plus facile à accepter que Merle Dixon dans le 1x01.
Les deux scènes d'action sont assez grandioses. Des zombies qui traversent le toit d'un super marché en ruine et s'écrasent comme des figues trop mûres. Visuellement superbe, délicieusement pervers et gore.
L'histoire de Rick et de la meuf dans les bois... hm. C'était bizarre, mais ça collait pas mal avec le comic book. La perversité de la nature humaine, les extrémités auxquelles poussent les conditions de survie... La réflexion était intéressante, à défaut d'être très surprenante.

5 janvier 2014

The Walking Dead - webisodes

Ouais bon, j'ai dit que je faisais une pause. Mais ça compte pas comme des épisodes, c'est tout court et en dehors de l'intrigue principale... erf. Enfin bref, j'ai maté les trois webséries à la suite, et c'était assez chouette.

Torn Apart (2011) : un
e vingtaine de minutes coupées en petites tranches, mettant en scène une poignée de survivants dans le quartier résidentiel où vivait Rick, au tout début de l'épidémie. On a tous les clichés du genre jetés pelle-mêle, c'est assez marrant. Les Américains de base armés jusqu'aux dents qui n'ont de cesse de crier aux terroristes, les bulletins d'information/désinformation, les hélicos et les points de ralliement qui ne sont pas de bonnes idées ; les réactions pourries de base : pas de double tap, empathie pour les morts membres de la famille, le mec mordu qui se suicide. La construction en flashback était sympa, cela dit, et les effets spéciaux plutôt cool. Un peu dommage que le zombie n'ait au final aucun rapport avec la bicyclette...

Cold Storage (2012) : que quatre épisodes cette fois, et c'était rudement meilleur. Pas uniquement parce que Josh Stewart est hnnn et que tout ce whump et cet air de chien battu perpétuel sont à mon goût un truc concret, mais aussi parce que ça sortait un peu des sentiers battus, que la photographie était vraiment chouette, et que la fin est ouverte. Je pense même que j'écrirai une fic à l'occasion. Au moins dans ma tête. Là encore, belle utilisation des coupures entre chaque épisode, j'ai eu de belles frayeurs.

The Oath (2013) : le plus problématique, d'une part parce que l'hosto ne correspond pas vraiment à celui qu'on voit dans le premier épisode, à part pour le suprêmement débile "don't dead open inside" (pour le coup, le mec qui a écrit ça avait manqué de se vider de son sang l'instant d'avant, donc on lui pardonne). Il y a un problème de cohérence de l'univers, soit on est en forêt, soit on est en ville, on peut pas avoir les deux. Quant à la meuf débile totalement flippante qui suicide les vivants et garde les morts dans la caféteria... euh ? Wtf. C'était glauque et carrément malsain, tout comme la fin.

4 janvier 2014

The Walking Dead - 3x16 - Welcome to the Tombs (finale)

Encore un épisode qui va finir dans mon "vault" personnel, avec Broken, cet épisode de Chicago Fire, et Torchwood saison 3. Le genre de truc où passé un certain stade dans l'épisode, tu sais même plus pourquoi tu chiales. Tu sais même plus si c'est l'épisode précédent, la nostalgie de la saison 1 où tout était simple et moralement tranché, ce putain de plot twist à la moitié qui te file les boules un truc concret, les flashs du futur en pensant au comic book, l'horreur, le moment où tu bouffes des larmes en gueulant "survive, motherfucker" à un personnage que tu SAIS va crever à cause des spoilers, mais tu espères quand même putain bordel. Où tu pleures parce que tu pleures. I'm so done with this show. For a month or two.

J'y ai repensé après coup, et WOW tellement de trucs en fait. Déjà, est-ce que je peux rétracter ma critique sur le Governor : je préfère quand il n'est pas psychotique en fait...
Ensuite... j'avais pas percuté sur le coup, mais c'est Ben, le gosse que
Carl tue dans la forêt. Celui qu'il tue dans le comic book, alors qu'il est encore humain, mais qu'il pose problème et que personne ne veut s'en charger. Encore une fois, c'est édulcoré, dans le sens où ce n'est plus un gamin, mais un ado. D'un autre côté, c'est encore pire, parce que ce n'est plus un secret entre Rick (qui est toc toc) et Carl (qui vire côté obscur de la Force), c'est un événement semi-public avec témoins. C'est bien pire. Ne nous aventurons même pas dans les parallèles éventuels entre Carl et le Governor (c'est le bandeau sur l’œil qui m'y a fait penser, et un certain écho dans leurs propos).
A côté de ça, on a le sacrifice über cool et terriblement triste de Merle, totalement passé sous le tapis ou presque. C'est peut-être l'effet spoiler. Peut-être le fait qu'à part Daryl et par ricochet Carol, ça ne touche pour ainsi dire personne. A un moment dans l'épisode précédent, je me suis demandé s'il n'allait pas nous ressortir le bon vieux cliché du "j'ai été mordu du coup je décide de faire le bien avant de mourir en héros" (cf. Land of the Dead, cf. Miguel Salazar, etc.). Mais non, et c'est ça qui rend son acte encore plus héroïque et encore plus triste à la fois. Parce que c'est véritablement un suicide. Volontaire. Pas précipité par les événements. Parce que c'est la révélation d'un homme qui se rend compte qu'il n'aura sa place nulle part.

4 janvier 2014

The Walking Dead - 3x15 - The Sorrowful Life

Je sais pas comment je survivrai à la saison 4 pour laquelle je me suis quasiment rien spoilé (à part... enfin bref), quand j'ai dû mal à supporter la saison 3 alors que je savais quasiment tout à l'avance.

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