Fiou. Que de mauvaises nouvelles, que d'enterrements. Pi le genre triste, pas le genre gai comme dans les premiers épisodes. Bon, on se doutait que le David Brooke il était mort, depuis le temps, mais ça fout quand même un peu les boules, tous ces camions remplis de corps non réclamés.

Elle est épuisante, cette série. Mais dans le bon sens du terme. Il se passe rien, mais ça n'arrête pas. C'était mi-sérieux, mi-nawak tout du long, et j'aime bien ça. On sort du carcan semi-révérentieux des débuts, ça permet des développements bien plus intéressants.

C'était tellement parfait. Excitant, réjouissant, flippant. Plein de non-dits, de scènes sérieuses et "historiques", et plein de fanservice à la fois. Je suis arrivée simultanément au stade où je me dis "comment j'ai fait pour passer à côté de cette série pendant aussi longtemps ?" et "comment je vais faire quand ça sera fini ?". Génial.

Quand tu te dis "merde, c'est trop court", après un épisode d'une heure, tu sais que c'est de la bonne. Musicalement, c'est pas le jazz qui me déplait, en fait, c'est clairement la trompette, et les passages entièrement instrumentaux. Là ils se diversifiaient pas mal, beaucoup de chansons, beaucoup d'instruments différents, ça passe nettement mieux.
J'aime bien comme tous les personnages se croisent. C'est totalement artificiel, c'est assumé, même. Mais c'est amusant. C'est sympa qu'il n'y ait pas de fil conducteur et d'histoires satellites. Tout est plus ou moins sur un pied d'égalité, dans une espèce de cacophonie de petites vies.