House - 8x19 - The C Word
Bwaaaaah :(
La fin :D
Fuuuuuuuuuu.
Pas possible de former une pensée cohérente ce soir. C'était cruel, horrible, parfait. On fera quoi, quand House sera fini ? :(
Bwaaaaah :(
La fin :D
Fuuuuuuuuuu.
Pas possible de former une pensée cohérente ce soir. C'était cruel, horrible, parfait. On fera quoi, quand House sera fini ? :(
Moins de clinquant dans cet épisode, plus de sexe et de crime. L'ensemble était un peu décousu, c'est dommage, mais les scènes étaient vraiment superbes. So far l'intrigue générale se goupille vraiment bien, le genre qui fait dire à l'épisode 4 "oh, bah ça le premier épisode l'annonçait". J'aime.
Gnihihihi c'était tout foufou, tout mignon, avec juste ce qu'il faut d'originalité, de kitsherie et de whump. L'intrigue sur les paris, les chevaux et les tickets gagnants, techniquement c'est du déjà vu, mais les rebondissements étaient chouettes, les seconds rôles bien vus, l'ensemble est adorable. Je kiffe.
:(
La fin (屮゚Д゚)屮
Tss, je m'y attendais, vu les titres des épisodes à venir, mais ça pue quand même. Techniquement parlant, j'aurais préféré une fin à la Reichenbach Falls, mais c'est clair que le focus est sur House/Holmes, et pas sur Wilson/Watson, et ce depuis le début. Vu que c'est inversé, il semble logique que l'issue tragique le soit aussi. Ça reste pourri parce que c'est triste et angoissant. C'est pas glorieux, c'est pas rationalisable comme la lutte contre un méchant diabolique.
L'épisode en soi était très bon, avec la réflexion sur les rêves et leur influence sur la vie réelle, la question de la croyance et de la religion, et quelques scènes bien sympa. J'espère qu'on reverra Dominika avant la fin, parce son histoire a un goût de pas fini. C'est triste ça aussi, ironiquement. House lui a menti pour ne pas être seul, au final il se retrouve seul, et il saura pas si c'est son mensonge qui a fait fuir sa fausse femme ou pas. Frustrant.
Mais la fin quoi ><
Mais snif, que c'était tristouille cette fin. L'épisode en lui-même était chouette, parce qu'il revisitait de manière inventive et intéressante (et surtout cohérente avec le reste du canon) les fantômes et leurs moeurs. Les quelques retournements étaient bienvenus, et l'ensemble était sympa. La fin me donne envie de rouspéter cela dit : mais bordel, que fait Dick Roman, et pourquoi ils épiloguent pas sur les numéros, les fouilles et tout le bazar. Enfin je suppose qu'ils se gardent ça pour les derniers épisodes. Un truc chouette, espérons.
Wow, oh wow. Autant tout le début, on va dire deux tiers, j'étais pas convaincue. Trop de ronds de jambes, trop de clinquant, trop de faux. C'est plat, sans relief, attendu. Mais le dernier tiers, dès que la nuit est tombée, c'était beau, fou, esthétiquement parfait. Le genre qui oblige à retenir son souffle, le genre où les images, la musique, le rythme sont en parfaite symbiose, et c'est juste beau.
Sympa, mais bordélique. Le méchant, qui n'en est pas un, le complot, qui s'avère être tout autre chose. Pourquoi pas, mais on s'y perdait. Par contre les explosions à répétition, c'est radical pour empêcher de piquer du nez...
Un bel épisode, un peu triste, un peu drôle, mais quand même vachement plus plausible que le précédent. Pas mal de lampshadings, et d'instants où on a le sentiment que les scénaristes se souviennent soudain en sursaut d'un élément lancé plus tôt dans la saison, et pas vraiment repris depuis. Cela dit, c'est pas une mauvaise chose, les personnages jouent au pinball entre des balises espacées, et on est baladé dans tous les sens.
Chiant. 15 min sur une histoire dont on avait rien à foutre pour commencer, et ça patinait, et c'était pas intéressant, rythmé ou bien joué. Bleh.
Ohmyglob. Je sais pas ce qu'ils ont fumé en écrivant l'épisode, et comment ça a pas été censuré par la chaine, mais oO c'était vraiment extrêmement bizarre, même selon les critères d'AT, déjà bien chelous.