Gnihihihihi. Le genre de truc que je surkiffe, même si c'est français, critiquable, un peu vieux, produit par tf1, cliché et tout ce qu'on veut - y un bref instant de flottement, et pi j'ai le cerveau qui fond. Mode fangirl activé, j'ai couiné tout du long. Le mieux, c'est que je m'en souvenais très peu, a posteriori, du coup tous les cliffhangers et les retournements sont surprenants, même la deuxième fois. Oh que c'est le pied de se dire que quatre épisodes inédits m'attendent après la saison 1 <3

En fait, bizarrement, c'était vachement mieux que le souvenir que j'en avais. Le cliché est maitrisé, c'est rythmé, on s'emmerde pas une seconde, les dialogues sonnent pas trop mal. Ça s'était délité, dans mon esprit, je suis étonnée.

Voilà, ça c'était bien. Court, con, tordu dans sa logique. Un bon finale, pas comme la saison d'avant.

AH. LA FIN. Why would you do such a thing? Dear.
Début pas glop, parce que trop prévisible - mais au final ça faisait des tours et des détours, et les rebondissements successifs étaient vraiment très très très cools - la mère de Casey en prison, l'arnaque à l'assurance, la mort du gang leader, la fin horrible. Bon épisode, bon développement des personnages, rythme soutenu tout du long. Vivement la suite, du coup, janvier

Ya des épisodes comme ça, où ils arrivent à rendre l'horreur vraiment magnifique. Le genre qui passe dans une autre dimension, pendant un bref instant. Le seul truc dommage, c'est que dans le fond ça mène à rien, ça tourne en rond dans le malsain. Dans le genre, l'horreur magnifiquement dérangeante, il y avait Carnivale, qui réussissait bien mieux parce que tout avait un sens.

Sam et G sous le gui. Le whump (oh tout plein de whump, on s'ennuierait sans Deeks). De la cocaïne sur un porte-avion, un vrai mystère tout chouette, même si ultra prévisible. Vraiment très bon épisode, ça rattrape le précédent, qui était violemment tout pourri.

Han, la fusillade sur la fin, c'était cruel, j'ai fait un bond totalement pathétique.
Bon épisode, ça tire toujours un peu trop sur la corde du patriotisme à la NCIS, mais bon, ça passe. Pas mal d'humour, plein de petits détails idiots pour les fangirls (la référence à G Force était joliment amenée), et des occasions de whump manquées.

Trois choses : FLAIL, cet épisode était sublime, c'est à mes yeux la série de l'année.
Le rythme était effréné, diabolique, plein de rebondissements bizarrement crédibles, tout du long. C'était ça que j'attendais depuis un moment, qui ne venait pas, jamais totalement. C'était jouissif et beau de voir Sherlock et Watson "pour de vrai", et pas juste une espèce de tentative bancale, une parodie, un ersatz. C'était wow décoiffant dans la justesse, dans les pauses, dans les regards, dans les non-dits. Je le dis et le redis, mais j'adore les acteurs, et j'adore les décors, et la musique, et tous les petits rien qui additionnés font que c'est beau. Juste beau. Pour le coup, j'ai beaucoup repensé au premier épisode du Sherlock de Moffatt - ciselé, bondissant, jouissif. Il a fallu dix épisodes, mais s'ils sont lancés comme ça jusqu'à la fin, ça va être le pied.

Nul. Chiant. Pas drôle. Trop long. Méchant. Bleh. Vivement que ça s'achève.

Wow. Je pensais pas qu'ils en seraient capables, mais c'était là un épisode "comme au bon vieux temps". Un vrai, avec de vraies blagues nulles, des références nerd, plein de second degré, et pas trop de chiant à base de relations et de cul et de que sais-je encore. C'était bien écrit, Sheldon était exceptionnel, et la fin, wow.

Han, c'était boooon. Le genre qui file des angoisses du début à la fin, le genre qui tire pas trop sur la corde, classique, surprenant, un peu tout à la fois. Visuellement plus original que les précédents, avec de l'humour, un bon développement des personnages. Ils deviennent bons, c'est le pied.