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Sérivore
supernatural
17 octobre 2010

Supernatural - 6x03 - The Third Man

mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais mauvais

J'hésite vraiment à arrêter totalement.

J'ai pas aimé le fanservice poisseux, les mauvais plans sur les pecs de Sam et le dos de Dean. J'ai pas aimé le montage naze avec l'Impala, la métaphore (sexuelle ?) des voitures. J'ai pas aimé le nouveau Cas. J'ai pas aimé cette chasse qui n'avait ni queue ni tête, qui commence dans le gore juste pour le principe et qui finit avec des anges dans tous les coins. Baltazar c'est pas un roi mage en plus ? J'ai pas aimé le retour de Raphael et cette histoire de guerre civile. La guerre civile, c'était intéressant avec Lucifer, c'était intéressant avec la menace de l'apocalypse et la métaphore du "il faut tuer le père". Là c'est juste redondant, lourd et inutile. J'ai pas aimé les insectes (j'ai fermé les yeux et j'ai failli gerber). J'ai pas aimé l'épisode entier en fait.

J'ai pas aimé la bande annonce des prochains, et ça c'est *vraiment* un comble. Le signe que je ferais mieux de plus regarder du tout ?

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3 octobre 2010

Supernatural - 6x02 - Two and a Half Man

Putain, ya vraiment que la toute fin qui rachetait cet épisode de merde, c'était pathétiquement horrible. Nul.


Une espèce de fanfic naze, un jumping of the shark qui ressemble plus à un bourbier qu'à quoi que ce soit de flamboyant mais d'improbable.


Un King Shifter ? Mais merde, ils vont donc passer toute la saison à reprendre des méchants superbes et à les rendre nazes ? Après les Djinn (What Is and What Should Never Be restant à ce jour un des épisodes les plus énormes de la série), démolis, on a une espèce de retour merdique des shapeshifters (et là encore, leur premier épisode est un des plus énormes qu'il soit, Skin, le paroxysme du whump)...


Non quoi. Si, à la rigueur, ils étaient parti dans la direction du : la famille et le papy sont des shapeshifters, j'aurai été contente. J'y ai même cru un instant, mais non, on se retrouve avec un coup de fil louche à la X-Files à la fin, toujours pas de réponses, et des personnages plus antipathiques les uns que les autres.


De la belle daube. Pendant 2/3 de l'épisode je me suis ennuyée à mourir, j'ai eu envie d'arrêter et de plus jamais regarder, de trucider les scénaristes, d'aller me coucher, etc...


Mauvais mauvais mauvais.


Please, autre chose.

Trop les boules, ça m'a énervé cette merde qui se prétend une série. Je savais que ça serait de la merde sans Kripke, mais à ce point ?

Je me remets pas d'un épisode qui tourne autour d'une idée qui se résume à : tiens, si on foutait un bébé dans les pattes des frères Winchester ahahahahaa ça serait marrant comme tout, Dean serait genre le super papa en devenir huuhuh et Sam pas doué du tout, de toute manière, avec ses cheveux il fera jamais rien de sa vie à part devenir maléfique, paf.

Et aussi, ah, oui, un méchant ? Euh, et si on reprenait les suuuupers méchants de Skin. Ouais, cool, comme ça pas besoin d'engager des acteurs, on les colle en double partout. Cool. Et pour les transformations, ça va casquer niveau effets spéciaux nan ? Bah... euh... On a qu'à dire qu'il y a un.. un genre de "King Shifter", yeah, trop cool, qui peut se transformer paf comme ça avec un juste un peu de flou. Tu me fais ça avec photofiltre, hop, gratos, yeah trop cool. Un bébéééé. -_-

Et moi je confirme : je vais me PENDRE.


Et je pense que Sera Gamble :
1. est une sale fangirl/fanfiqueuse en folie qui se sent plus
2. a été assassinée et remplacée par une sale fangirl/fanfiqueuse en folie qui se sent plus
*pleure*

25 septembre 2010

Supernatural - 6x01 - Exile on Main St.

J'hésitais entre très bon et juste bon, et au final c'était... bon. Mais bon dans le sens accompagné d'un grand soupir de contentement.

Un tout petit peu déçue par le ressort très très facile du "oh, tiens, le grand-père a aussi été ressusc...ité, on sait pas comment pourquoi, mais du coup on se ramène avec plein de cousins" (WTF). Enfin, Corin Nemec ♥. Mais bon.
L'ellipse est superbe. J'ai eu le sentiment de voir mis en images une fanfiction qui aurait échappé à son créateur. Plein plein plein de détails, de non dits, de détours. Très bon.

Les djinns, les peurs, le retour du caniche ? My, comme j'ai flippé tout du long. Pas assez léché à mon goût, au niveau des images - il y a eu bien plus frappant, et c'est un peu dommage, surtout pour un premier épisode de saison. Mais tout de même très très flippant. Les arbres, les ombres, je m'attendais à ce que quelque chose les agresse à chaque seconde -_-"
Angst, le retour. Le hug *o*

Je sens un truc vaseux au niveau du grand-père, mais je saurais pas encore dire quoi. A voir à voir.

Je suis vraiment vraiment très très très heureuse de retrouver cette série. Après un looong moment sans, ça faisait un bien fou, et surtout j'avais l'impression de ne jamais les avoir quittés. Étrange comme sentiment, surtout que j'étais totalement spoiler free. Ce qui s'apparentait le plus à des spoils, c'était les (superbes) fanfictions de Baroqy, situées pendant l'ellipse
entre les deux saisons, c'est dire.

27 mai 2010

Je repensais à SPN, en cette période de finales de saisons, et...

et je me disais qu'au final, on a pas de réponses concernant pas mal de choses, et je me demande si ça a été laissé en suspens parce qu'ils savaient qu'ils auraient tout loisir de développer dans la saison 6, ou parce que c'était censé rester en suspens de toute manière.

Prenons l'exemple tout bête, mais vraiment crucial : le médaillon de Dean. Ça fait tout juste 5 saisons qu'on nous dit qu'on va nous dire le rôle qu'il a jouer dans la mythologie SPN, et puis... plus rien. Je ne peux pas croire qu'il va finir à la poubelle (pour de bon), et qu'on n'en entendra plus jamais parler. Je n'arrive même pas à penser que Sam ait pu ne pas le ramasser après Dean. Bon. Donc j'espère qu'on aura un petit quelque chose dans la saison 6.

Crowley et le bazar avec l'âme de Bobby. Mais quoi ? Quoi ! Je m'insurge ! Ça ne peut pas rester en plan comme ça. On ne me fera pas croire que toute cette plotline se résume à : on avait besoin d'un moyen chouette pour redonner ses jambes au héros tombé au combat, Bobby la figure paternelle (le "sir" que lui adresse Sammy dans le dernier épisode est vraiment significatif à ce niveau là). Je n'ai pas bien compris non plus le lien logique entre l'âme d'un type et la localisation de la Mort, mais bon, passons.

Crowley encore : on ne sait pas où il est passé, au final on ne sait pas vraiment quel était son endgame, son but dans toute cette affaire, et là encore on ne me fera pas croire que c'était juste pour ne pas voir l'Apocalypse advenir.
Crowley, si on m'avait demandé, c'est sur lui que j'aurais misé s'il avait fallu parier quel personnage in-story se révèlerait être Dieu. (Bon, okay, j'avais tout faux, j'ai été obnubilée par le Chuck de The End, frénétiquement en quête de PQ alors que c'est la fin du monde.)

Maaaais... Oui, il y a un mais : Crowley, comme Chuck et Gabriel/le Trickster était un de ces personnages de la saison qui faisait le lien entre monde réel et monde SPN. Le Trickster, il avait la capacité de créer des mondes, de manipuler la réalité, d'altérer les personnages et leurs relations, comme le ferait un auteur, un démiurge.
Chuck, censément prophète, écrit l'histoire des Winchester. Là, les indices étaient plutôt clairs, mais je me suis totalement faite berner (trop d'autres trucs en cours, j'ai été submergée) ; sont statut est établi (par Castiel), mais il reste flou : il prédit l'avenir, il voit à l'avance, et il peut, d'une certaine manière, influer sur le réel et le modifier, par rapport au fictionnel de ses écrits. La figure de l'auteur (ie Kripke) était évidente et martelée tout du long, et ça rend le twist final encore plus bon.
Crowley enfin, il est lui aussi hors de la linéarité du show, dans le sens où il fait des allusions méta-scéniques, en disant à plusieurs reprises : "and scene", pour conclure un moment, de manière humoristique, certes, mais tout de même, c'est assez flagrant pour que ça m'ait marquée à chaque fois. Il est en dehors, il brise le quatrième mur et fait le lien entre le réel et le fictionnel mis en scène. Du coup je pense qu'il y a plus derrière ce personnage, et j'espère vraiment qu'il reviendra sur le devant de la scène, et que ce n'était pas seulement un procédé scénaristique pour redonner ses jambes à Bobby et faire avancer l'histoire.

Toutefois, Supernatural ne m'a jamais déçue au niveau cohérence, et les rares choses vraiment mauvaises ont été auto-critiquées par Chuck dans un moment d'introspection sur ses écrits-prophéties, du coup on leur pardonne.

Addendum sur Chuck-Dieu : les indices étaient clairs, le retour sur l'histoire dont il est, selon lui, l'auteur, le fait qu'il soit le seul*, en apparence, à pouvoir aller à l'encontre d'un ordre établi, fixé à l'avance. La destruction du 4e mur, avec le magnifique "The way I look at it, it's really not jumping the shark if you never come back down." Les indices humoristiques aussi, sur le fait qu'il aime les prostituées vierges (s'appelant en l'occurrence Mistress Magda)...

* Le seul avec Dean, l'élément humain qui sauve le tout à la fin, qui décide de faire la seule chose non-rationnelle : foncer dans le tas. Le combo Impala/musique/Dean tête brûlée, c'est un peu l'humain qui dit aux anges et à l'ordre établi : fuck. Et le fait que Dean sache où se rendre grâce aux infos de Chuck boucle le tout.



J'ajouterai aussi le fait que Crowley et la Mort sont visiblement liés d'une manière ou d'une autre (Dean et Crowley arrivent à Chicago, Crowley veut d'emblée aller dans la pizzeria, où au final Dean trouvera la Mort), et qu'ils sont tous deux des personnages éminemment Pratchettiens.

La Mort, dans le sens du Faucheur, celui qui parle en MAJUSCULES et qui est aussi vieux que le temps, plus vieux que les dieux (la Mort de SPN dit bien qu'il récoltera aussi l'âme de Dieu quand son heure sera venue, et qu'il est bien plus vieux que lui), qui s'intéresse aux humains sans les comprendre (la Mort de SPN est attablé devant une pizza, à deux minutes de la tempête du siècle sur Chicago), et la Mort refuse d'être assujetti par quiconque (comme dans SPN).

Et Crowley, le démon serpent de Good Omens, celui qui s'associe à un ange pour empêcher l'Apocalypse, parce qu'après tout il s'est habitué à sa vie sur Terre et qu'il se sent pas trop que tout s'achève dans les flammes et compagnie (oui, oui, c'est texto la même histoire, au point que ça en est terrifiant**)

** Si on ajoute à ça qu'un des dieux dans le 5x19, déclare texto que selon lui le monde est sur une tortue, on peut conclure que les auteurs ont trop lu Pratchett pendant l'été (et cet état de fait me réjouit).

14 mai 2010

Supernatural - 5x22 - Swan Song

Oh mon dieu. Toute pensée cohérente a quitté mon corps et mon esprit, et à la fin j’ai la bouche ouverte et les yeux fixés à l’écran noir, c’est juste terrifiant.

Je ne sais même pas par où commencer, et à quel point je dis bravo, merci et putain mais vous avez failli me tuer !

Déjà. A plusieurs reprises au cours de l’épisode, j’ai pensé, avec beaucoup de précision, à la critique négative que j’allais faire de cet épisode. Peut-être parce que j’en attendais trop, et subitement je me suis rendue compte à quel point cette fin vers laquelle toute la saison 5 menait est kitch, téléphonée et débile. Surjouée. J’ai eu peur, j’ai eu peur de devoir dire : je n’aime plus, je suis déçue.

Quand Michael (dans le frère caché Adam) et Lucifer (dans Sam) sont partis pour s’affronter, deux frères, le père absent, blahblah... Mon cerveau a crié, non ! Ya des limites à ce que je peux endurer pour un fandom. Et là !! là ! C’est là que le prodigieux se produit. Dean, au volant de l’Impala, Def Leppard à fond, qui débaroule en milieu du angst familial de merde et c’est BEAU !

L’horreur absolue du combat final, sans Michael en fin de compte, prend vraiment aux tripes, et là j’ai rien à redire, c’était juste énorme, du niveau du final de la saison 1 ou de l’avant dernier de la saison 2. Poignant, bien fait, horrible.
La promesse, toujours des promesses, en plus des secrets.

Et la fin renoue avec la tradition Supernatural des personnages ressuscités et des secrets. Mais forcément, après l’Apocalypse, c’est sur une plus grande échelle.

Je l’avoue, j’ai chialé à la fin. Parce que Dean a enfin eu ce qu’il désirait sans jamais oser se l’avouer (cf. l’épisode dans le monde du Djinn et dans le monde des rêves). C’est inversé, et c’est bon. On se doute que ça ne durera pas, et que le secret sera pulvérisé en cours de saison 6, mais je suis en joie, à un point inimaginable face à cette fin. Un peu de répit pour Dean, même si c’est pour respecter une promesse et grâce à un secret.

Human!Castiel n’est plus. Mais il était trop pathétique, vraiment, ça n’aurait pas pu durer. La fin en quelque sorte c’est la négation de The End, 5x04, Lucifer n’est plus triomphant, le monde n’est plus à feu et à sang, Dean n’est plus un guerrier sans cœur qui a l’espoir insensé de sauver son frère, et Castiel n’est plus humain. Enfin, quand même, le faire exploser, et tuer Bobby juste après, c’était un peu trop pour mon petit cœur.

Et... oh. Chuck. Ça aussi, c’était un des trucs qui ne me plaisait pas dans cet épisode, et que j’avais l’intention ferme de critiquer ; ce récit en voix off du supposé prophète-auteur alcoolique, qui annonce le deus ex machina (de toute beauté, là je dis pas, donner une place pareille à l’Impala c’était légitime et bienvenu), c’était un peu craignos. Mais la fin, et le sourire, et la disparition. Oh.

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7 mai 2010

Supernatural - 5x21 - Two Minutes To Midnight

Premier épisode sans spoilers, mais du genre SANS SPOILERS. (Je savais juste que Castiel revenait, à cause de twitter, enfin on s'en serait douté quand même).

Bon.

Par où commencer ?

Tout au long de l'épisode, je me disais "c'est parfait, c'est génial, c'est superbe.... la fin va être moisie". Et puis NON c'est beau et bien fait jusqu'à la toute fin ! OMG

Pestilence et tout le trip à l'hôpital, c'était dégueu, vaguement ridicule, mais j'ai adoré quand même, parce que c'était enfin du BON WHUMP. Oh et human!Cas c'est juste ♥ in a twisted sort of way.

Crowley et le pacte avec Bobby. Ôo juste wow quoi. De l'humour énorme en plein milieu de cet épisode tout angsty, tout affreux, c'était magnifique.

Death. Juste.... superbe. L'acteur, la voiture, la musique, la ville, la tempête, le resto, tout est parfait. "I'm as old as God. Maybe older. I'll reap him too." OMG Un personnage définitivement pratchettien, je suis fan, très très fan.

Angsty self-sacrificing Sammy, ça ça change pas, en fait si c'est pas l'un c'est l'autre. Bon.

Le recours un peu facile au frère possédé par Michael pour éviter le truc manichéen Sam versus Dean, evil versus good, à la fin. Certes.

Crowley in and out la voiture et le "I found him" à l'extérieur de la pizzeria en gesticulant, c'était énorme. De l'humour idiot, facile, pour alléger le ton.

Des zombies. Enfin des Croatoan zombies, mais ça ne se refuse pas quand même.

Wet hair kink. Sorry. Can't help it.

Hum. La suite la suite la suiiiite. Et la politique anti-spoilers est plus que jamais de rigueur !

Et quand même, Julian Richings en Death, c'est une riche idée *o*

30 avril 2010

Supernatural - 5x20 - The Devil You Know

J'ai fait une légère attaque de panique quand le Hell Hound a débarqué. J'y peux rien, depuis le 3x16 je fais des crises chaque fois qu'ils sont dans un épisode.

Sinon hum. C'était assez bordélique comme épisode, et un peu trop évident, un peu trop appuyé et moralisateur.
Et puis j'ai passé 40 minutes sur 45 à me demander ce que Crowley voulait, pourquoi, si c'était vraiment un démon, s'il mentait, pourquoi, etc. (les 5 min restantes c'était la crise de panique Hell Hounds related).

Hum. Subitement je me rends compte à quel point l'intrigue rejoint celle de Good Omens. Et OUI il m'a fallu tout ce temps pour me souvenir que le démon dans le livre s'appelle aussi Crowley. -_-" Pratchett et Gaiman devraient réclamer des droits d'auteur :D
Faut dire qu'en VF c'est Rampa, donc ça aidait pas.

Bref. WHERE THE FUCK IS CASTIEL? that's all I'm saying.

23 avril 2010

Supernatural - 5x19 - Hammer of the Gods

OH GOD(S)! HOLY CRAP! WOW... THIS IS PROBABLY ONE OF THE BEST EPISODES EVER, AND CAPSLOCKS AREN'T EVEN ENOUGH TO EXPRESS HOW MUCH I LOVED IT!

Je crois que ça faisait très très très longtemps que j'avais pas autant rigolé, trépidé, couiné devant un Supernatural ! J'aime, j'adore, je suis fan à 300% ! Les "autres" dieux, l'Apocalypse remis en perspective, mais BON SANG ça fait quinze épisodes qu'il aurait fallu faire ça !!!!!!!

Autant l'épisode d'avant était merdique niveau raccord maquillage et autres, autant là c'était BEAU ! Lucifer, prodigieux, la mort de Gabriel, wow juste wow !

Il n'y a pas de mot pour dire à quel point je suis fan. De tout. De l'humour, de la vision de la religion, de l'intrigue et du character developpement. LONG LIVE KRIPKE! WOW wow wow !

Et donc, je le dis et le redis : les épisodes dont je n'attends rien, dont je ne sais rien (si ce n'est le titre), donc je n'ai pas vu la moindre photo, ils sont toujours bien mieux ! Oh bon sang si ça se maintient jusqu'à la fin je vais faire une embolie.

And, also, where this fuck is Castiel?

And also also, Dean is REALLY hot with his hair drenched.

16 avril 2010

Supernatural - 5x18 - Point of No Return

Je m'attendais à mieux. A plus... exceptionnel. Je veux dire... 100e épisode + un titre de Kansas + 5e épisode avant la FIN ? Come on! Eh bien non, c'était tout à contre pied de ce à quoi on pouvait s'attendre, et c'est pas plus mal.

Beaucoup de détails très appréciables, du point de vue de l'écriture : les piques de Zachariah, comme autant de clins d'oeil au fandom, le lampshading sur le deus ex machina qu'est le frère caché/ressuscité.
Le début, aussi, avec le quiproquo et le parallèle entre Zachariah, administration divine et un pauvre mec qui s'est fait virer.
Castiel ! (Je n'en dirai pas plus, ça suffit, juste !!)

Quelques trucs dissonants, surtout au niveau des raccords maquillage, ça m'a fait tiquer, alors qu'en temps normal, SPN est toujours toujours réaliste à mort pour ce qui est des blessures. Dommage.

9 avril 2010

Supernatural - 5x17 - 99 Problems

Mais comme je me suis laissée avoir, mais un truc concret :O

Pendant au moins 1/3 de l'épisode, je râlais dans mon for intérieur, que ça ressemblait au 5x04, et aussi à plusieurs autres, que ça faisait un effet de déjà-vu, que j'aimais pas cet exorcisme vitesse rapide, que j'aimais pas le fait qu'on trouve des prophètes à tous les coins de rues.

J'ai quand même apprécié les parallèles qui existent entre fiction et réalité, entre le SPN!univers et notre réalité. D'un point de vue psychologique, c'était bien amené ; qu'est-ce qui pousse les gens à faire des trucs aussi affreux sinon la foi, et le fanatisme de toute sorte ?

Je l'avais un peu vu venir, le coup de "the whore of Babylone" (faut dire que c'est un de mes passages préférés de l'Apocalypse (haha)).

Castiel "on a bender" c'était énorme ; pendant tout le long j'avais envie de faire des \o/ pour Castiel, l'ange déchu, drunk, pathetic, wounded and faithless. \o/

Michael Shanks, OMG. Petite pointe au coeur quand j'ai vu son nom au générique. Et puis... j'ai passé une moitié d'épisode à le chercher -_-" Je l'avais pas du tout reconnu (faut dire que le type qu'il joue je suis partie en me disant qu'il ressemblait à Rick Grimes donc ça m'a induit en erreur).

Mais la fin ! Mondieu ! Juste, trop horrible. C'est monté comme une vague, et je m'en suis pris plein la tronche, encore une fois, alors que je m'y attendais pas, et que je me disais, ça devient chiant, et répétitif, et arg j'ai hâte d'avoir la suite.

Je n'ai même pas les mots pour exprimer à quel point j'ai été émue par la fin. Et j'ai même pas envie de commencer à expliquer pourquoi. Juste :'(

Oh, note en passant : l'Apocalypse rend les cheveux doux et soyeux. Sam n'a jamais été aussi charmant, capilairement parlant, et je suis amoureuse des cheveux de Dean. Arg.

Marrant de voir qu'un des principaux sujets de râlage au sein du fandom US actuellement, c'est les aspects misogynes du show. Je veux dire, okay, ya eu une blague nulle ("On a good day you get to kill a whore") mais c'est pas comme si c'était nouveau, cet aspect là.

Dans SPN, les femmes sont des cruches, des salopes ou des démons. Parfois tout à la fois. Mais surtout elles survivent jamais longtemps. Et tout en étant féministe et à cheval sur mes principes, ça m'a jamais posé problème. Whatever...

C'est comme les paroles de Led Zeppelin, en fait. (Oui, dans mon monde, ya un gros signe "égal" qui clignote entre Led Zep et SPN). C'est les paroles les plus machistes, misogynes, sexuelles que j'aie entendu, dans ce contexte musical donné (à part peut-être certaines de Deep Purple). Et pourtant, en tant que femme, en tant que femme bien décidée à pas se laisser marcher sur les pieds, ça me parle, et ça me charme, et peut-être que c'est ça, l'attrait pour les machos. Je sais pas. Pour moi c'est la version actualisée de la sublimation de la femme par les poètes romantiques du 19e.

Parce que (oui, j'ai du mal là, j'avais perdu le fil de mes pensées), je trouve que dans SPN comme dans Led Zep, la femme à beau être à la maison, juste la compagne, un objet sexuel, une garce (au choix), elle est au *centre*. Elle est sublimée, elle est essentielle. C'est elle qui fait agir, c'est elle qui provoque, c'est elle qui appelle la réaction.

(Et là je pense à la copine de Jet dans l'épisode 10 de Cowboy Bebop, et le lien est vraiment pas évident).

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