Bored to Death - 1x04 - The Case of the Stolen Skateboard
C'est vraiment hypra chiant en fait. Poubelle, série, adieu.
C'est vraiment hypra chiant en fait. Poubelle, série, adieu.
Sea, surf and murder. Une petite intrigue pas trop compliquée, et plein de frustrations annexes, avec Callie à Atlanta, et Jim sans amis en Floride. Le cliff de fin était attendu et perturbant à la fois. Mais pourquoi pas, ça fait trois saisons que ça dure, un mariage de plus ou de moins me dérangera pas trop. Et avec ça, me voilà parée pour la saison 4 à la fin du mois /o/
L'intrigue était pas crédible une seconde (trop de gens qui se connaissent et qui ont des vies extraordinaires d'un coup), mais c'était drôle et dépaysant, j'en demande pas vraiment plus. Moi aussi, j'aimerais bien avoir une île en Floride et écrire de mauvais romans :') Enfin bref, série conne, mais série sympathique.
Grml, me souviens plus qui c'est censé être, la meuf à la fin, ou même si on l'a déjà vue... Sinon, bah c'était un chouette épisode, avec tout ce qu'il faut de sang, d'interventions originales et bien réalistes, de sentiments et d'embrouilles. Une espèce de Third Watch unilatéral, ou un Urgences hors hôpital, avec pompiers. Classique, mais bien fichu.
Quel étrange épisode. Y a pas d'autre mot, c'est juste étrange. Pas grandiloquent comme un finale de RTD. Pas incompréhensible et triste comme un finale à la Moffat. Juste étrange. Juste ce qu'il faut d'humour, de larmes, de références au canon (et clore la timeline de River, avec une référence à Silence in the Library, c'était bon), et d'entourloupes louches. Mais la fin... Elle laisse un sentiment bizarre de mind rape à la Moffat, quand même. Je vais même pas essayer de comprendre, et attendre la suite /o/
Ouuuuh the Cure, j'aime. Les choix musicaux de cette série continueront de me surprendre et de m'enchanter à chaque épisode, c'est merveilleux. A part ça, encore plein de perruques immondes, pour une série capillairement ratée, mais vraiment très intéressante par ailleurs. Ils assument totalement le côté Mad Max/western, avec attaques de diligences, faux curés et vendeurs ambulants secrètement membres de cultes. C'est foutrac, mais vraiment intriguant et plaisant. Le même concept que Revolution, en somme, avec peut-être un peu plus de moyens.
Moué... c'est une fin en carton quand même, et même eux en sont conscients, vu tous les parallèles avec le départ d'Howard tout du long... Quelques blagues, quelques "aww", mais dans l'ensemble c'était une fin décevante. A l'image de la saison...
Bon, bah ils ont bien fait de l'annuler, cette série.. Ya vraiment rien à sauver.
Il y avait encore une fois de beaux moments pleins d'intensité (rip, Lucifer alias Jeremy, le dernier ami de Bath...), et d'autres d'une niaiserie sans bornes. Du sang, plein de sang, des explosions, des drones, des réparations d'os totalement gore et folles à la fois. C'est inventif, dans leur merdier, c'est un vrai flot de... trucs. Des trucs dans tous les sens, on a le sentiment du mec qui s'éclate tout seul avec ses personnages, dans un grand délire. Et je kiffe, et je veux savoir la suite, et je tiens à tous ces personnages un peu cons, un peu géniaux. Jusqu'à la fin, je n'arriverai pas à voir les mauvais côtés de cette série, c'est trop chouette.
LA FIN.
Episode bateau (haha !), mais avec plein de moments vraiment horribles et flailants. Un peu trop de gore à mon goût, j'ai dû fermer les yeux plusieurs fois, faut pas faire des trucs pareils... Tellement de gens qui retournent leur veste plusieurs fois par épisode, c'était chaud à suivre.
Et tout du long la petite partie de mon cerveau qui pense aux révisions me racontait des histoires de parallèles avec la Révolution américaine et la guerre de Sécession. Tous les symboles sont là (les drapeaux, la cloche dans le précédent épisode...), c'est une guerre qu'on a sous les yeux, avec ses généraux, ses couleurs et ses horreurs.
C'est pas du tout ce pour quoi j'avais signé quand j'ai commencé à regarder la série, mais l'idée d'une saison en deux parties, diamétralement opposées et centrées, dans le fond, sur l'importance de la famille et la relation conflictuelle Miles/Monroe tient plutôt bien la route, en fait.